La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1574)
Datte: 24/01/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Camélia au Château - Devenue chienne Maera MDE - (suite de l'épisode N°1570) -
Une machine à baiser fixée juste devant le siège par un bras articulé… Le lendemain, après une bonne nuit récupératrice, je fus réveillée en sursaut par la porte qui s'ouvrit. Je reconnus Walter déplaçant un siège gynécologie sur roulettes équipée d'une machine. Une machine à baisser fixée juste devant le siège avec un bras articulé... Tout de suite, le Majordome me montra le fameux comprimé aphrodisiaque, puis me le présenta devant la bouche pour que je l'avale ce que je fis rapidement... La machine à baisser était assez grande et se tenait sur des rails-glissières afin d’en assurer les allers-retours du sexe factice imposant par sa longueur et épaisseur. Le Majordome me fit un signe du doigt, m'intimant l'ordre de m'installer sur cette chaise gynécologie flanquée de sangles permettant de me maintenir en place bien attachée. Une fois allongée sur le siège attendant ainsi la tête baissée essayant de rester la plus docile possible. Je mis mes pieds dans les étriers et Monsieur Walter m'attacha bras et cuisses écartées aux sangles afin d'être bien immobile et offerte. Il fixa ensuite le sexe factice proche de ma chatte puis fit quelques réglages afin de l'ajuster comme il le voulait. Le Majordome testa la régularité du gode ainsi que la profondeur de pénétration afin que le mouvement rectiligne soit millimétré avec perfection dans ma chatte de salope en chaleur…
Après ce premier test ...
... concluant, il régla la vitesse de la machine à baisser à l'allure très rapide. Il la mit en route, et regarda quelques instants le spectacle que pouvait lui donner le déplacement horizontal du gode entrant et sortant de mon sexe dans une rapide régularité tel un mouvement d’une mécanique affolé... Tous ces préparatifs avaient duré environ 20 minutes … Puis Walter repartit comme il était venu en claquant la porte. Le sexe factice me pénétrait avec la précision et la folle régularité d'un métronome adoptant un rythme très soutenu avec des puissants, profonds et virils va-et-vient… Au départ, durant les 10 premières minutes, cela paraissait supportable et excitant… Mais très vite, à cause du rapide effet du traitement aphrodisiaque, cela devenait de plus en plus difficile à ne pas jouir. En effet, le comprimé que j’avais pris une petite demi-heure avant commençait à faire pleinement son effet sous l’action, en plus, de la machine à baiser et je ressentis de fortes bouffées de chaleur ainsi qu'une excitation grandissante et incontrôlable, avec comme la veille, une impossibilité de jouir. Je me sentais alors comme complètement surexcitée par les coups virils du sexe factice, en rut extrême, en chaleur phénoménales. J’avais cet indescriptible besoin de me faire prendre sans modération mais avec aucune envie de jouir, tout cela généré par les effets si paradoxaux du comprimé…
J'essayais juste d'être la plus digne possible sachant que le Maître me regardait de son ordinateur et souhaitant ...