1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1574)


    Datte: 24/01/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... lui faire honneur et être digne de lui. C'est ainsi que les minutes passaient, j’étais follement trempée dans mon sexe mais aussi de tout mon corps chaudement en sueur, je me sentais être une bombe sexuelle et j’essayais de bouger dans tous les sens, mon fessier essayait de se décoller du siège, j’avais trop envie d’aller à la rencontre de ce rapide gode en mouvement et d’en faciliter encore plus la pénétration… Mon souffle était fort, rapide et mes gémissements étaient dignes d’une chienne dans tous ses états de chaleur… Le temps passait, et je dépassais l’état de fatigue qui commençait à poindre, privilégiant l’appel de mon corps chaud à cette bite factice qui me besognait et que ma chatte réclamait plus que tout… Je n'avais aucune idée depuis combien de temps la machine à baisser avait commencé et je souhaitais juste qu’elle ne s’arrêta jamais, qu’elle me baise sans jamais s’arrêter, encore et encore... Tout mon corps transpirait avec abondance, j'étais comme en nage mais avec l'impossibilité de me libérer et de me soulager de cette torride pénétration vaginale via un sexe factice qui se déplaçait avec une rapidité folle.
    
    Le Majordome ne m'avait pas menti, cela ne serait bien pas de tout repos et je ne pouvais que le constater de toute évidence. J'essayais de de me focaliser pour tenir au niveau de la fatigue devenant de plus en plus pressante pendant que le sexe factice me pénétrait… Et si cela devait durer deux heures, ça faisait déjà un bon moment que je me faisais ...
    ... prendre de la sorte... Un très long moment après, je ne sais pas combien de temps exactement, j'entendis des bruits de pas qui se rapprochaient de la porte. Le Majordome entra et se rapprocha de moi puis mettait en position d'arrêt le sexe factice et le sortit de ma chatte sans le moindre mouvement brusque. Il me détacha et me délivra des sangles auxquels j'étais solidement attachée sur le fauteuil gynécologie. Je pus progressivement et l'un après l'autre enlever mes pieds des entiers puis mes mains ainsi que mes jambes. Il me fallut de longues minutes pour me reprendre, pour retrouver mon souffle alors que ma cyprine dégoulinait avec abondance de ma chatte en feu...
    
    Walter me laissa assise afin de me laisser récupérer un peu, puis il exigea de me lever et de me mettre en position d'attente mains derrière la tête à genoux, buste droit afin que mes fesses ne touchèrent pas mes talons, tête baissée et d'attendre ainsi dans cette position. Il s'éloigna ainsi emportant avec lui sur les roulettes la machine à baisser puis repartit aussi vite qu'il était arrivé. Le Majordome revint quelques minutes plus tard avec une bouillie dans une gamelle à manger, l'installa sur le sol, puis sans aucun mot repartit comme il était venu. Je mangeais à quatre pattes comme la bonne chienne soumise que j'étais, lapant consciencieusement ma bouillie hautement calorifique et récupératrice de mes forces… Quand j'eus fini de me sustenter, je restais ainsi immobile en quadrupédie, n'ayant pas reçu ...