« Josy » : La petite salope prête à tout pour obtenir ce qu’elle désire. Épisode 11
Datte: 22/01/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... m’avait-elle sourie ?
— C’est une occasion en or Josiane. M’avait prévenu Daniel.
Jean-Charles et ma mère étaient du même avis et désiraient tous les deux, me soutenir. À cette époque, les choses avaient évolué, ils vivaient désormais en couple depuis qu’en octobre dernier, ma mère et le fils du médecin, s’étaient fait surprendre par l’épouse cocue. Celle-ci soupçonnais son mari de la tromper depuis un long moment déjà et lorsqu’à 14 heures, elle était entrée dans le cabinet comme une furie, elle vit son conjoint le pantalon sur ses chevilles, baiser Colette sur la table de soin, jambes écartées, robe relevée jusqu’à la ceinture. Elle était partie comme elle était venue et avait demandé le divorce sans attendre d’explications.
Lors de ma visite sur les lieux, effectuée avec ma mère, Jean-Charles et Daniel, je fus surprise de l’importance de l’emplacement que nous faisait découvrir le propriétaire. Avec deux immenses parkings de chaque côté de la nationale, le corps de ferme en forme de L avait une surface totale de 1660 m2. À droite de la grande cour, se trouvait un grand bâtiment non réhabilité, d’une longueur de 50 mètres et dont la façade de 22 mètres, avec sa grande porte cochère, donnait accès sur la route. À l’époque, c’était l’ancienne étable et la porcherie.
C’était dans partie du bâtiment en retour, au fond de la cour, que le restaurant fut aménagé sur une surface totale de 560 m2. Avec une cuisine de 120 m2, une réserve et chambre froide de 80 m2. 300 m2 ...
... étaient réservés aux salles à manger, réparties en deux parties, sans compter le hall d’entrée, les toilettes et le vestiaire. Dans cette première salle où se trouvait un grand comptoir et donnant sur une terrasse dans la cour, les anciens propriétaires y servaient une centaine de repas et dans la deuxième à l’arrière, réservée pour les banquets, celle-ci pouvait accueillir près de cent-cinquante convives.
À gauche, se trouvait une immense grange de 600 m2. Si celle-ci était en piteuse état, je pouvais utiliser cet endroit couvert pendant toute la saison estivale. Ayant la chance d’habiter dans une région où le soleil brillait sans compter d’avril à fin octobre, ça ressemblait fortement à l’endroit que j’avais visité à Paris. Toutefois, une bonne partie de la toiture menaçant de s’effondrer, cette grange devait être retaper rapidement avant la réouverture du restaurant.
Je savais pertinemment que c’était l’endroit idéal pour ce que j’avais envisagé : faire de ce lieu un paradis de la danse mais de toute évidence, mes économies ne suffisaient pas à acheter le fond-de-commerce même si celui-ci était vendu pour une poignée de chiques. Surtout qu’il fallait avancer le prix des travaux d’aménagement car ce restaurant quelque peu à l’abandon pendant plus de deux ans méritait un bon coup de neuf. Même avec d’argent que me prêtait gentiment Jean-Charles, il me manquait encore 40 mille francs.
Pour couronner le tout, les propriétaires désiraient également vendre les murs, il ...