« Josy » : La petite salope prête à tout pour obtenir ce qu’elle désire. Épisode 11
Datte: 22/01/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
Du lundi au vendredi, avec Pierre j’avais trouvé mon équilibre. Il ne pouvait plus se passer de mon côté : « petite salope. » Pour moi c’était un besoin, après le travail c’était fellation et cunnilingus sous la douche et les soirs avant de nous endormir, il me fallait vivre au moins deux orgasmes. C’était lui qui décidait, très souvent il préférait que nous finissions par une sodomie en règle mais ce n’était pas systématique. Nous avions déjà baisé dans toutes les pièces de son appartement, de la chambre à la cuisine, en passant par le couloir, le hall d’entrée, le salon et même dans la penderie.
Moi qui ne devais rester au bar-tabac comme serveuse que pour quelques mois, un an plus tard j’étais toujours en place. Ma relation avec le fils des propriétaires prenait des proportions alarmantes, il était amoureux et désirait se marier. Pour moi il en était hors de question, je ne voulais surtout pas être prisonnière. Si toute la semaine je vivais avec Pierre, le samedi soir je sortais en ville avec Françoise « au Plazza » et je dormais seule toute la journée du dimanche chez moi.
J’avais eu le temps de réfléchir à mon projet, cependant je n’arrivais pas à le concrétiser. Mon futur, je le voyais dans ce milieu, j’étais attirée par le débit de boisson et tout ce qui tournait autour, le spectacle me plaisait bien. Je n’avais pas l’intention de diriger un établissement tel un cabaret mais je ne désirais pas non plus, tenir un petit bistrot de village. Depuis cinq ans chez ...
... Marius, mon idée des soirées jukebox où les clients faisaient la fête en dansant me trottait dans la tête.
Pour les congés, Pierre tenait absolument officialiser notre liaison et désirait que je parte en vacances avec ses parents. Ne voulant pas rompre avec lui afin de conserver encore un peu mon emploi, j’avais inventé une histoire d’une tante à l’agonie, à qui je devais rendre visite une dernière fois. J’étais donc partie à Paris avec Françoise. Mon intention était claire, nous sortions les soirs dans la capitale pour baiser et faire la fête mais surtout afin de trouver une idée originale qui pourrait m’être utile pour mon projet.
Si nous nous étions amusées le premier soir, avec les deux lyonnais rencontrés dans un piano-bar, puis le lendemain dans un petit music-hall, avec les deux touristes normands, je n’avais rien remarqué de bien original. Aucun des deux établissements visités ne pouvaient être transposés dans ma région. Françoise qui avait toujours de bonnes idées, s’était renseignée et me demanda : « Tu as déjà baisé avec un noir ? » D’un air étonné, je l’avais regardé en écarquillant les yeux, en lui répondant : « Non Pourquoi ? » : — Alors il faut que tu essayes, tu ne le regretteras pas.
Question de ça, je lui apportais toute ma confiance, Françoise étant plus âgée, avait beaucoup plus d’expérience que moi. Elle m’avait emmenée dans un quartier assez louche. En descendant du taxi à l’adresse indiquée, nous nous trouvions devant un bâtiment ressemblant plus à ...