1. Torrides retrouvailles


    Datte: 21/01/2024, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation facial, Oral pénétratio, occasion, jeux, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... totalement nymphomane. Belle à damner un saint, un corps de statue, et un tempérament de feu. Une année entière, Annabelle Lajoie avait été sa tempête indomptable. Il fallait pourtant reconnaître que madame Lajoie avait perdu un brin de sa superbe. Octave avait tout de suite remarqué que la belle s’était un peu arrondie. Son corps s’était légèrement alourdi. Son visage de madone, lui aussi, avait accusé le coup des six années passées. Oh ! Rien de bien méchant ! Quelques rides au coin des yeux, et autour de son immense bouche pulpeuse. D’ailleurs, ces légers signes précurseurs des marques du temps étaient des charmes de plus. Pour certains hommes. Octave Groseille faisait partie de ces hommes, capables d’apprécier ces petits charmes.
    
    Elle avait quoi, la belle Annabelle ? Quarante-cinq ? Quarante-six ans ? Lui-même avait cinquante-deux ans, quand il la chevauchait, tel Jonas, enfourchant sa baleine avant qu’elle ne l’engloutisse. Madame Lajoie restait toutefois très belle. Elle ressemblait énormément à une actrice américaine, dont Octave était incapable de se rappeler le nom. La comédienne en question, américaine, avait vendu des pizzas mystiques, ou travaillait dans une pizzeria mystique, pour ses débuts cinématographiques. Il était hors de question pour Groseille, de se souvenir d’un détail aussi grotesque. Toujours est-il que l’actrice était devenue une immense star, quoique ce mot n’ait aucun sens véritable pour Octave. De grands yeux d’un gris aux reflets sombres, le ...
    ... plus souvent rieurs, et parfois charmeurs. Un nez un rien trop fort, et un brin trop long, mais doté de narines délicates. Et une bouche… une bouche immense, découvrant des dents de nacre quand Annabelle souriait. Une bouche qui puait l’érotisme. Hormis la couleur de ses yeux et de sa crinière de jais, cascade de cheveux noir corbeau lui couvrant les épaules, on aurait pu confondre Annabelle avec cette fameuse comédienne. L’actrice, qui, Octave s’en souvenait maintenant, était passée par Notting Hill, pour succomber à un coup de foudre. Annabelle Lajoie était un rêve sur pattes. D’interminables pattes, aux mollets parfaitement galbés, et aux chevilles fines. Ce matin, elle portait une courte veste noire, et ses seins libres d’entraves se balançaient doucement sous un pull gris qui moulait sa superbe poitrine. Son fessier de rêve s’était doucement balancé dans sa marche vers Pénélope. Un cul somptueux sous une jupe anthracite, les pieds chaussés d’escarpins noirs, madame Lajoie restait une somptueuse créature.
    
    Quant à Pénélope… Octave avait fini par ravaler sa frustration, face au contrat qu’elle avait imposé. S’il ne l’avait jamais effleurée du doigt, il avait tout vu d’elle. Pénélope s’était offerte à lui, avec une impudeur qui l’avait transporté. Elle resterait certainement un rêve inaccessible. En cette triste matinée grise et pluvieuse, Pénélope rayonnait ! Ce matin, plus que d’ordinaire encore. La jeune femme portait un tailleur bleu marine, sous lequel, il le savait, ...
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