1. Torrides retrouvailles


    Datte: 21/01/2024, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation facial, Oral pénétratio, occasion, jeux, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... l’embrasser. Un baiser impatient ! Brûlant ! Puis, la main d’Annabelle s’était posée sur l’entrejambe du libraire. L’érection de l’ancien capitaine de marine tendait la toile de ses pantalons, depuis qu’il s’était mis à observer, et comparer les deux femmes. La démonstration de son désir était pour le moins tenace.
    
    — Oh, cochon ! Tu n’as pas changé, hein ! Viens vite !
    
    Octave n’avait rien répondu, se contentant de se lever, sous la poigne nerveuse qui tirait sur le tissu qu’elle tenait fermement. Si le libraire se sentait un tantinet ridicule, suivant une femme qui l’entraînait vers le fond de sa boutique, en le traînant par la queue, il ne le montra pas. Le lieu avait changé, mais Annabelle Lajoie semblait bien le reconnaître. Elle se hissa d’un mouvement souple sur la grande table qui séparait le coin bureau de Pénélope des rayonnages, et ce, sans avoir lâché sa prise sur sa proie. Une proie devenue dure comme un pieu de bois.
    
    — Tu veux bien me montrer ça ?
    
    Si question il y avait, elle n’était pas adressée au libraire ni même à l’ancien marin. Annabelle avait libéré ce qu’elle convoitait, sans attendre une éventuelle réponse.
    
    —Ma Doué benniguet ! J’avais oublié !
    
    Annabelle Lajoie était née à Landerneau, et était d’origine bretonne. Elle avait quitté une région qu’elle n’avait appris à connaître, enfant, que par les histoires de sa grand-mère. Ceci expliquant certainement l’expression employée, quand sa main enserra le membre dressé de Groseille. ...
    ... Annabelle, les yeux braqués sur le sexe turgescent d’Octave, le masturbait doucement.
    
    — Je me souvenais qu’il était gros, mais…
    
    La main gauche de la belle brune était venue à la rescousse de sa petite sœur.
    
    — Mon fléau !
    — Oui…
    
    Octave, bouche ouverte pour aspirer de l’air, n’avait pu que souffler le mot. C’était ainsi que madame Lajoie avait baptisé son sexe naguère, et elle venait de s’en souvenir.
    
    — Octave…
    
    Groseille, le regard sur les mains qui le câlinaient, employait toute son énergie à ne pas se laisser aller à la catastrophe. Si ses souvenirs étaient bons, et ils l’étaient, il valait mieux de pas décevoir Annabelle Lajoie.
    
    — Octave !
    
    Annabelle avait presque crié.
    
    — Oui, Annabelle…
    
    Elle le regardait, le gris de ses yeux devenu sombre comme un ciel orageux.
    
    — Mets-moi à poil ! Mets-moi à poil et baise-moi !
    
    Madame Lajoie avait les seins nus sous son pull gris, et le cul à l’air sous sa jupe. Ce qui fouetta les sangs du libraire. Le ventre et les seins écrasés sur le bois de la table, jambes largement écartées, pointes de pieds touchant à peine le sol, Annabelle Lajoie ahanait comme une coureuse de marathon, dans son dernier kilomètre. Ses bouts de seins frottaient le bois, et elle en était très excitée. Ceci dit, elle en était excitée quand elle y songeait. Ce qui était difficile, la plupart du temps, bousculée comme elle l’était par les coups de reins tumultueux donnés par son partenaire.
    
    La toute première fois, des années avant, Annabelle ...
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