Un mariage arrangé
Datte: 19/01/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
laid(e)s,
campagne,
Oral
pénétratio,
rencontre,
Auteur: Anotherworld, Source: Revebebe
... la mère, ce serait dommage de passer à côté d’un si bon coup…
— Chaudasse ou pas, c’est hors de question, ta fille est tout sauf bandante !
— Comme tu veux, tant pis pour toi…
Georges était en train de négocier sa progéniture comme on négocie une génisse à la foire. Il en vantait les mérites, mettait en évidence ses incroyables qualités. L’étape suivante aurait été de l’exhiber entièrement nue devant moi, de me montrer ses charmes :
« Regarde donc ces beaux nichons, admire ces gros cuisseaux, reluque-moi cette chatte poilue. Admire encore cette corpulence, vois comme elle est bien musclée ! C’est d’la bonne bidoche, ça, monsieur. De la viande ferme à point, bien goûteuse et bien fraîche, du tout premier choix. Et puis, quelle génitrice ! Regarde donc ces grosses mamelles et cet appareil reproducteur en parfait état de fonctionnement. »
Mais je freinais des quatre fers et mon manque d’entrain pour la jeunette était on ne peut plus visible, j’étais buté comme un âne : je n’en voulais sous aucun prétexte, ce qui incita mon interlocuteur à dévoiler un peu plus ses cartes.
— Tant pis pour toi, car il se pourrait bien qu’en plus je lui donne une belle dot ! Et même une très belle dot, ajouta-t-il lentement, en insistant lourdement sur le mot « très », sur le mot « belle », et sur le mot « dot ». J’crois savoir qu’ça arrangerait bien tes affaires, ce bon paquet de fric. Alors, faut qu’t’y réfléchisses un peu plus que ça, mon gars, en t’disant qu’un beau pécule vaut ...
... bien d’faire quelques concessions. Et puis, si c’est sa laideur qui t’effraie tant que ça, t’auras qu’à lui faire mettre un masque ou la baiser par-derrière. De toute façon, dans le noir, tu n’verras pas la différence. Un trou c’est un trou, c’est toujours bon à prendre et il fait toujours bon y mettre sa bite.
La « très belle dot » miroitait maintenant devant mes mirettes, je ne pensais plus qu’à ça et voyais déjà le matelas de biffetons étalés devant moi. C’est certain, cela valait peut-être la peine d’y réfléchir et, probablement aussi, de faire quelques efforts.
— Et ça monterait à combien, cette jolie dot ?
— Ah ça j’peux pas t’le dire exactement. Mais en tout cas, à plus d’argent que tu en as dépensé au cours de ces dix dernières années.
— Fichtre ! Une telle somme !
— Et bien plus encore si je ne m’abuse. Mais il y aura aussi des conditions. Il faudra que tu promettes de ne pas divorcer sans mon consentement, que tu la rendes heureuse.
— Parce que je dois me marier en plus ?
— Vingt dieux oui, tu ne voudrais pas que mon petit fils n’ait pas de père !
— J’avais déjà oublié cet aspect des choses.
— Et l’autre condition, c’est que tu fasses tout son possible pour ensemencer son ventre le plus vite possible. J’aimerais connaître la joie d’être grand-père.
— Pour résumer, elle accepte de vivre avec un vieux, j’accepte de vivre avec une moche, on se marie, on fait un môme et tout le monde est heureux.
— T’as tout compris, Pierrot, tope là, on fait affaire, me dit ...