Un mariage arrangé
Datte: 19/01/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
laid(e)s,
campagne,
Oral
pénétratio,
rencontre,
Auteur: Anotherworld, Source: Revebebe
... femme…
Ses trois premières décennies d’existence n’avaient pas permis à Marilyne de trouver chaussure à son pied. Le peu d’hommes du coin, qui auraient pu éventuellement s’intéresser à son cas, elle leur fichait la frousse par son comportement autonome et indépendant. Les années passantes, le père désespérait de voir sa fille fonder une famille, et je crois qu’il avait abandonné tout espoir d’avoir un jour des petits-enfants.
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Un soir que nous étions tous les deux à discuter dans le cellier, et que j’avais une fois de plus besoin de tunes, voilà le vieux Georges qui se mit à critiquer mon laisser-aller et mon côté panier percé,De quoi il se mêle, ce vieux grincheux ?, et de conclure qu’il me faudrait quand même une femme pour me remettre les pieds sur terre, pour me forcer à me remuer un peu le popotin et m’empêcher de boire autant. Quelle mouche l’avait donc piqué ? Je pense qu’il devait en avoir sacrément ras le bol de me filer du flouze !
— Tu as beau jeu de me faire la morale, Jojo, vu tout ce que tu t’enfiles par ailleurs comme pinard !
— P’tet ben qu’j’en bois plus que d’raison. Mais, justement, j’peux t’dire que du temps où Louison était encore là, j’me saoulais quand même moins souvent qu’maintenant et qu’c’est depuis qu’elle est partie que j’bois pour oublier.
— Pour oublier quoi ? Qu’elle n’est plus là à te casser les couilles ? Tu as vraiment la mémoire courte, moi je crois que tu craignais surtout son balai. Je me souviens d’une fois ...
... où on s’était planqué dans les bosquets pour picoler peinards… pendant que ta belle et douce arpentait le caveau pour te mettre des coups de canne… Et, je crois bien qu’à l’époque tu picolais encore plus que maintenant tellement tu ne pouvais plus la supporter, ta mégère.
— Un peu d’respect quand même, c’est d’une morte dont tu parles.
— Foutaises ! Tu fais amende honorable, maintenant. Mais tu étais le premier à vouloir la trucider et je crois bien qu’elle n’aurait pas été malade, c’est ce que tu aurais fini par faire, elle t’en faisait voir de toutes les couleurs.
— T’envenimes le tableau, mon gars. Les femmes, c’est sûr qu’on les exècre quand on les a, mais quand on les a plus, eh bien on les pleure et on les regrette… et puis, tu sais, une femme, ça a toujours besoin d’argent, alors ça te motive pour en gagner. Ça te secoue, ça t’encourage, et tu n’peux pas rester comme toi comme une larve…
— La larve, elle te dit bien des choses. Tu oublies que j’ai déjà donné en matière d’emmerdeuse. Et maintenant, je suis tout seul, je suis peinard, tranquille, heureux, et je n’ai pas besoin en plus d’une pétasse qui trémousse son cul dans la baraque !
— Même pour tirer ta crampe ? Ch’suis sûr qu’ça t’dirais quand même un beau petit cul bien dodu pour y planter ta trique. T’es encore jeune et plein de ressources, tu devrais en profiter pendant que tu bandes encore. Ce n’est pas quand tu auras mon âge que tu pourras t’tirer des jouvencelles.
— Parce qu’tu veux dire qu’à ton âge on ...