Novembre – Expérience et vaudeville
Datte: 15/01/2024,
Catégories:
fh,
2couples,
frousses,
extracon,
extraoffre,
inconnu,
nympho,
piscine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
69,
fgode,
préservati,
pénétratio,
fsodo,
jouet,
échange,
journal,
occasion,
libercoup,
Auteur: Camille.R, Source: Revebebe
... douloureux. Lorsque la bite est bien installée en moi, c’est un sentiment de plénitude qui domine. Pas aussi fort que lors d’une pénétration vaginale, mais plutôt agréable. Maxime entame un mouvement de va-et-vient. En même temps qu’il me sodomise, il caresse mon clitoris. Je goûte cette juxtaposition de sensations, l’une que je connais bien, l’autre beaucoup plus inhabituelle. Derrière moi, j’entends les halètements de Maxime qui commence à amplifier ses mouvements. Il ne manque pas pour autant de continuer de me doigter, ce qui est bien venu, car, franchement, côté cul, la pénétration ne me fait pas beaucoup d’effet, mais je continue à bouger en rythme, jouissant de me faire branler, tandis que Maxime, lui, jouit d’être bien serré dans mon trou de balle. Petit à petit, gagnée par l’excitation, je commence à gémir aussi. Maxime s’active de plus en plus. Ses doigts parcourent toute ma vulve, entrent en moi puis ressortent pour revenir sur mon clitoris. Sa bite entre et sort à une cadence de plus en plus élevée qu’il imprime aussi à sa main qui me masturbe, tant et si bien que je finis par atteindre l’orgasme tandis qu’il éjacule dans mon cul.
Après un petit moment de repos, Maxime me dit tendrement :
— J’ai l’impression d’avoir eu plus de plaisir que toi, je me trompe ?
— Non, tu te trompes pas. C’est ta main qui a tout fait. La sodomie, ça me fait vraiment pas grand-chose. Mais toi, t’as l’air d’avoir bien aimé, non ?
— Oui, je vais pas dire le contraire. C’était ...
... bon. Mais pas plus qu’une pénétration vaginale, en fait. Alors je crois qu’on peut laisser tomber, tu crois pas ?
— Si ça tient qu’à moi, je dirais que je me sentirais pas privée.
Par contre, il est clair que cette séance m’a un peu laissée sur ma faim. J’envoie Maxime à la salle de bains. Pendant qu’il se douche, je prends mon vibromasseur dans le tiroir de la table de nuit. J’en pose l’extrémité sur mon clitoris, appuie un peu et déclenche les vibrations, à faible niveau. Tout de suite après, j’introduis l’engin dans mon vagin et le laisse en place, seulement animé par la douce vibration. Je ferme les yeux, mais entends que Maxime sort de la salle de bains. Il me trouve ainsi tranquillement bercée par le massage automatique. Puis, sans ouvrir les yeux, je commence à bouger le sexe artificiel en moi. J’intensifie un peu les vibrations. Je sais que mon mari me regarde me branler, et ça m’excite. J’imagine qu’il commence à bander en me voyant. Autant pour lui que pour moi, j’approfondis le mouvement. La jouissance me gagne. J’augmente le niveau de vibration et introduis la bite en silicone par coups secs, que je ne peux m’empêcher de ponctuer de gémissements.
J’ouvre les yeux et vois que Maxime, près du lit, a pris sa bite bien raide dans sa main et se branle également. Entre deux râles, je lui demande d’approcher pour que je le suce. Il s’exécute, et tandis qu’il continue à se caresser les couilles, je prends sa bite en bouche. J’intensifie ma masturbation. Le fait d’être ...