Novembre – Expérience et vaudeville - Histoires de Sexe

Novembre – Expérience et vaudeville

... prend dans sa bouche la bite qui est toujours érigée, n’ayant pas eu le temps d’aller au bout de son plaisir, mais Audrey suce en gourmande et Maxime apprécie. Bientôt, il prévient :

— Je vais venir.

Elle sort la bite de sa bouche et la pose entre ses seins volumineux qu’elle serre entre ses mains. Elle branle Maxime en longs va-et-vient de ses seins, jusqu’à ce qu’il jouisse sur sa poitrine, son cou et son menton. Il s’écroule auprès d’elle, épuisé.

Alors que nous prenons congé et que chacun rassemble ses vêtements, Audrey profite d’un moment où elle et moi sommes un peu à l’écart pour me remercier d’avoir insisté pour partager cette soirée :

— Camille, vraiment, tu as eu l’idée du siècle ! Une révélation pour moi !
— J’ai adoré aussi. Tu es vraiment magnifique. C’était un plaisir de jouir à côté de toi.
— Merci, mais surtout je me suis bien éclatée. Je m’étais pas trompée en flashant sur Maxime.
— Alors c’est bien pour tout le monde. Je crois que les mecs ont bien aimé aussi.

Guillaume, Maxime et moi quittons Audrey sur une vague promesse de se revoir, et nous regagnons notre voiture. Je m’installe au volant et nous partons ...

... raccompagner Guillaume. C’est lui qui engage la conversation :

— Bon, Camille, faut que tu prennes soin de Maxime ce soir, il doit être épuisé… Une tisane et au lit !
— Tu crois pas si bien dire, répond Maxime, quel volcan ! J’ai des crampes partout !
— Vraiment partout ? Pas plutôt localisées dans un endroit précis qui a été spécialement sollicité ?
— En tout cas, c’était une expérience… intéressante.

J’interviens :

— J’avoue que j’ai un peu manigancé le coup avec Audrey, mais je me doutais que vous seriez partants pour qu’on dévie un peu du plan prévu pour notre soirée. Vous m’en voulez pas ?
— Tu as mon approbation, même si elle vient après-coup, répond Maxime, et même si tu m’as laissé un peu mariner avant que je sois sûr de comprendre où tu voulais en venir.
— Quand même, reprend Guillaume, je suis un peu honteux qu’on ait laissé croire jusqu’au bout à Audrey que j’étais ton mec et Maxime un copain.
— J’ai trouvé ça drôle au début, et après, j’ai pas trouvé le bon moment pour lui dire qu’elle se trompait. Et c’est sûr que la soirée se serait pas conclue comme ça si elle avait compris son erreur.
— Alors, vive le sexe et les quiproquos !