1. Musique Peu Classique


    Datte: 11/01/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... J'étais au paradis. Elisabeth se pencha en avant pour m'embrasser longuement, ses mouvements était plus sporadiques, elle était un peu en sueur. Soudain, sans qu'elle ne bouge, j'ai senti des contractions dans son sexe, massant ma verge. N'y tenant plus j'ai joui en criant mon plaisir, j'ai joui comme je ne l'avais plus fait depuis longtemps.
    
    Ce n'est qu'après que j'ai réalisé que nous n'avions pas de préservatif. Pour les MST je n'étais pas inquiet, j'espérais juste qu'elle prenait la pilule. Mais c'était trop tard. Elisabeth était couchée sur moi, reprenant des forces, me murmurant que j'étais tout à elle. Je devais avouer que, même si j'avais joui, je restais très excité et toujours aussi dur en elle. Mais KO par l'émotion générée.
    
    - Viens ce n'était qu'un amuse-bouche, il est temps de passer aux choses sérieuses, je vais te faire découvrir mon antre!
    
    Malgré mon immense fatigue, je me levais, nu, et lui donnait la main alors qu'elle me guidait vers l'escalier de la cave. Celle-ci faisait toute la surface de la maison. A la descente, je ne découvrais qu'une cave remplie de fruits et de bouteilles de vins, avant qu'Elisabeth ne dévoile une grande porte capitonnée ouvrant sur une immense pièce plongée dans le noir. Elle me fit entrer, voulant garder le suspense, referma la lourde porte derrière moi, et enfin ouvrit la lumière. Je m'attendais à un grand studio d'enregistrement, et d'une certaine façon je retrouvais la grande table de mixage, les micros et autres ...
    ... éléments électroniques, un violon posé avec son archet. Mais j'étais tellement titubant de fatigue, qu'il me fallut quelques minutes pour comprendre qu'il s'agissait de bien autre chose.
    
    La pièce était peinte en noir avec un sol en béton ciré rouge. De chaque côté étaient fixées au sol de petites cages aux barreaux très épais. Au plafond pendaient des liens et des chaînes attachées à un treuil, des objets que j'aurais vus dans un musée de la torture, comme un pal, une croix de saint André, un sarcophage clouté, un cheval d'arçon ou une table gynéco. Il y avait de multiples objets partout et il ne fallait pas être un spécialiste pour savoir qu'ils n'avaient d'autre objectif que d'infliger la torture. Je regardais Elisabeth éberlué, qui gardait son sourire, à peine plus élargi, heureuse de ma réaction! Je ne comprenais rien, mais je savais que je n'avais rien à faire ici. Pourtant je ne bougeais pas. J'étais comme immobilisé, sans volonté.
    
    J'ai paniqué quand j'ai réalisé que nous n'étions pas seuls, et même loin de là! Dans une des cages je découvris une jeune femme à 4 pattes, les mains et les pieds attachés aux coins de la cage, le dos collé à la partie supérieure et maintenue ainsi par une large sangle qui donnait l'impression de la couper en deux. Sa peau était blanche, ses seins pendaient, tirés par le bas par des liens noués d'un côté à des anneaux démesurés dans ses tétons, et de l'autre au sol de la cage. La jeune femme semblait souffrir de sa position, je distinguais ...
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