1. Musique Peu Classique


    Datte: 11/01/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... un léger murmure de sa bouche entravée par un énorme bâillon en forme de pénis qui s'enfonçait dans sa gorge. Mon Dieu, où étais-je donc? Pourquoi je n'arrivais pas à réagir, ni même, en réalité, à être effrayé?
    
    Elisabeth me prit par la main et je la suivi dans un coin de la salle pour découvrir deux autres personnes suppliciées qui nous regardaient à peine, ivre de souffrance. Normalement j'aurais été horrifie, et là j'étais presque excité. Pour dire vrai, mon pénis était à nouveau dur, et Elisabeth prenait plaisir à me caresser ainsi tandis qu'elle me détaillait ses deux proies torturées.
    
    - Lui c'est Ré, la première note de ma collection. Après moi bien entendu, je suis Do avec un D majuscule. Il voulait tellement me séduire, il s'est donné corps et âme pour moi mais ne s'attendait sûrement pas à l'usage que j'allais faire de lui. Cela fait 8 mois qu'il est ici, souffrant pour moi sans relâche, doucement comme en ce moment, mais souvent bien plus vivement.
    
    Doucement? 8 mois? Les questions s'entrechoquaient dans ma tête. L'homme, très musclé et très viril était attaché en croix face au sol. Néanmoins son corps faisait un arc vers le haut, ses couilles étant étirées au plafond et supportant sans doute une grande partie de son poids. J'en avais des frissons dans les miennes! La torture était tellement sadique. Son sexe érigé était étiré entre ses jambes vers ses pieds et son méat cloué à une planche de bois. Cloué! Un gros clou de charpentier, comme un papillon de ...
    ... collectionneur. Son corps, ou du moins le verso de son corps était couvert de crevasses faites sans doute par une lame de rasoir, le sang avait récemment beaucoup coulé. De son cul, émergeait un rondin de bois dont ma main ne ferait pas le tour, qui semblait le clouer au sol tout comme le clou de son sexe. C'était énorme, inhumain, son anus devait être détruit.
    
    Il portait le même bâillon que celle dans la cage, Fa m'apprit Elisabeth, et des anneaux que je ne voyais pas qui étaient encore plus gros que ceux de Fa. Elisabeth me confirma que c'était une des positions de repos qu'il avait quand il n'était pas en cage. Comment était-ce possible? J'arrivais à lui demander, sans bien articuler il est vrai.
    
    - Il absorbe chaque jour, comme Fa et La, la jeune suppliciée à côté de lui, un cocktail qu'a mis au point l'ancien propriétaire de cette maison. Je vais 'expliquer dans un moment. Ce sont des hormones, des excitants, des décontractant qui à la fois développent le désir sexuel, le désir d'offrande et la passivité, en supprimant toute velléité de se rebeller. C'est quelque chose de magique. Et cela se boit très bien dans la limonade, je suis certaine que tu n'as rien perçu et par contre tu dois bien sentir les effets, là, je me trompe?
    
    Non elle ne se trompait pas. J'aurais du sombrer dans la terreur en écoutant son discours calme, mais au contraire, je lui souriais en hochant la tête.
    
    - Fa c'est presque la même histoire, mais c'est moi qui suis venue la draguer dans un ...
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