Un esclave familial (2) Un talent certain... - Histoires de Sexe

Un esclave familial (2) Un talent certain...

... as volé un yaourt, tu as mangé du camembert et le quignon de pain que j’avais laissé trainer volontairement. Tu as vraiment cru que tu allais me duper ?

Evidemment je ne dis rien cela me vaut une troisième gifle. Puis elle m’attrape par l’oreille et tire de toutes ses forces en approchant son visage du mien :

- Connasse, grande buse, pisseuse…Mais a qui crois tu avoir à faire ? Tu pensais que j’étais une Madame de pacotille. Tu t’es terriblement trompé. Je suis surpris que ma fille qui ne cesse de déblatérer sur mon compte ne t’ait pas dit que je pouvais être violente…et que par-dessus tout je ne supportais pas qu’on me mente.

Elle me pousse alors très fort et me fait tomber sur le carrelage. Aussitôt elle vient appuyer sa semelle sur mon visage, la pression est si forte que j’ai l’impression que ma tête va rentrer dans le carrelage.

- Je crois que tu as besoin d’une bonne correction, une de celles dont on se souvient, comme ça tu sauras qui est Odile ! Mets-toi à quatre pattes !

Je suis à quatre pattes devant elle. Elle me tourne autour et vient se planter devant moi.

- Regarde !

Je lève les yeux. Elle retire d’un mouvement brusque la ceinture de son pantalon et la plie en deux pour l’avoir bien en main. Elle passe derrière moi.

- C’est la dernière fois que tu me désobéis souillon

Cette phrase n’appelle pas de réponse. Elle baisse mon short et commence à frapper mes fesses et mon dos de toutes ses forces. Elle semble se défouler avec beaucoup ...

... d’enthousiasme. Je gémis, je demande grâce :

- Tu peux couiner, je m’en fiche et en plus cela me donne envie de continuer

Et en effet elle continue ! Quand soudain elle s’arrête c’est pour frotter sa semelle sur mes fesses meurtries :

- Ecarte tes jambes !

Que me prépare-t-elle ? Soudain je reçois un violent coup de pied dans les parties et avant même que j’ai le temps de réagir un second qui me coupe le souffle. La boucle en métal de ses ballerines vient de ravager mes testicules. Je me laisse tomber sur le sol tout en protégeant mon entrejambe :

- Enlève tes mains connasse et réclame ! Allez ! Assume tes envies espèce de gros pervers.

Je ne dis rien. Je n’ose plus bouger. Sa colère redouble. Elle commence donner des coups de pieds dans le ventre, dans la poitrine, dans les cotes en hurlant :

- Enlève tes mains je t’ai dit !

Je retire mes mains et elle m’assène un nouveau coup de pied dans les parties. Je remets mes mains et me roule en boule.

- Et bien je crois que j’ai toutes les prédispositions pour être une bonne sadique mais je m’en doutais…Ce passage à tabac m’a fait beaucoup de bien…j’oserais même dire qu’il m’a excité ! Pour un peu je te remercierai !

Le lendemain, sur le chemin du retour, Maîtresse Laura me dit qu’elle a beaucoup aimé cette transgression avec sa mère…et m’annonce son intention de faire de moi un véritable esclave familial, fantasme dont nous avions parfois parlé :

- Nous allons commencer par Maman mais tu finiras par être ...