Un esclave familial (2) Un talent certain... - Histoires de Sexe

Un esclave familial (2) Un talent certain...

Je vous ai dit dans le chapitre 1 que cela faisait 2 ans que tout avait commencé…Je réalise que c’était il y a 3 ans. Il faut dire qu’il s’est passé tellement chose depuis ce face à face avec ma belle-mère Odile…J’étais loin d’imaginer ce que j’allais devenir.

Vous vous demandez sans doute quel est le lien avec ma présence dans le placard à chaussures du Docteur Véra dans la banlieue lyonnaise ? Un peu de patience…mais sachez d’ores et déjà que Véra est la première fille d’Odile, en clair la sœur ainée de ma si chère Maîtresse Laura.

Laisser moi vous raconter la suite de cette journée aux pieds d’Odile car c’est vraiment ce jour-là que tout a commencé !

Odile finit par revenir, j’ai eu le temps de nettoyer la salle d’eau de fond en comble, même le sol. Je me tiens à genou sur le tapis de bain. La porte s’ouvre :

- Alors souillon ? As-tu bien travaillé ?

- Je crois Madame

- Tu ferais bien d’en être sûr car je vais vérifier le résultat avec attention

Elle commence à inspecter les toilettes, puis le lavabo et enfin la cabine de douche.

- Pas mal du tout ! Tu es doué ! Tu vas passer le reste de la journée à faire le ménage…Vas dans le couloir !

Je sors à quatre pattes. Elle attrape le tapis de bain et le secoue dans le bac de douche. Evidemment il n’est pas propre, elle le sait, elle sait que de toute façon je n’avais pas le nécessaire pour le nettoyer. Mais elle fait l’innocente et regarder l’acrylique blanc du bac se couvrir de débris et de poils ...

... qu’elle montre aussitôt du doigt en me jetant le tapis dessus :

- C’est ça que tu appelles propre souillon ?

Elle a l’air furieuse. Elle attrape le tapis, en fait un rouleau et se met à me frapper sans ménagement. J’ai compris ce jour-là qu’elle avait la main lourde et qu’elle aimait frapper et surtout faire mal.

- Je vais te montrer qu’on ne se moque pas de moi impunément grande buse !

Je me suis roulé en boule. Les coups de tapis continuent à pleuvoir. Quand elle s’arrête enfin elle m’attrape par le collier et me tira jusqu’à la douche :

- Lèche ! Tout doit disparaître, sinon je recommence, tu m’entends ?

- Oui Madame

- Alors vas-y !

Il y a là des poils, de la poussière, des morceaux d’ongles, des miettes de pain ou de biscuit…Bref ce n’est pas appétissant du tout. Mais je sais désormais qu’elle me punira sans état d’âme. Alors je fais abstraction et je me mets à lécher et à avaler tout ce que je trouve.

- Mon Dieu que tu es dégueulasse…c’est impressionnant d’être tombé si bas mais si c’est ce que tu aimes je vais te satisfaire, crois moi.

Elle tire sur ma laisse :

- Prends le tapis de bain entre tes dents, tu vas faire une lessive

Elle me fait traverser le couloir de l’étage jusqu’à sa chambre, elle entre et s’assoit sur le lit.

- A genou !

Je me mets à genou. Elle s’est assise à côté d’une pile de linge.

- Visiblement tu as l’habitude de lécher les culottes sales ?

- Oui Madame

- Et tu aimes ça ?

- Oui Madame

- ...