Un esclave familial (2) Un talent certain... - Histoires de Sexe

Un esclave familial (2) Un talent certain...

... Parfait…avant de faire la lessive tu vas faire un petit prélavage

- Bien Madame

Elle commence à fouiller le linge sale et en sort une première culotte. Elle me montre les traces sur l’entrejambe :

- Tiens ! Lèche ! Tout doit disparaitre.

Je léche aussi fort que possible. Elle me regarde fixement mais finit par s’impatienter :

- Montre !

Je tends la culotte pour exhiber l’entrejambe qui ne présente plus de trace visible.

- C’est pas mal mais ce n’était pas la plus sale dit-elle en m’en tendant une deuxième bien plus marquée…Et dépêche toi un peu, on ne va y passer la journée.

J’accélère. Les culottes sales s’enchainent. J’en ai compté six, je crois. Elle me regarde faire avec un sourire carnassier.

- Et mes chaussettes dit-elle ? Tu vas les prélaver aussi ?

- Oui Madame

- Alors tiens, lèche !

Je vais commencer quand elle m’interrompt :

- Renifle les d’abord ! Voilà c’est bien…Qu’en penses-tu ?

- Elles sont odorantes

Je reçois une gifle appuyée

- Et le Madame ?

- Désolé Madame

- Alors ?

- Elles sont odorantes Madame

Et je reçois une deuxième gifle, encore plus forte :

- Insinuerais tu que je sens des pieds ?

- Non Madame

Et c’est une troisième gifle qui me fait vaciller.

- Tu es un sale menteur…car oui je sens des pieds ! C’est ainsi ! Allez lèche !

Quand j’ai terminé elle sort de la pile de la linge un pantalon de pyjama en satin.

- Je t’ai gardé le meilleur pour la fin…tu vois ce pyjama…je l’ai ...

... porté toute la semaine, sans culotte…Tiens renifle bien l’entrejambe

Le satin est imprégné de ses odeurs les plus intimes. Je dois bien avouer que c’est très excitant.

- Lèche, applique toi !

Elle me repousse avec le pied :

- Assez ! Tu prends tout ce linge et tu lances une lessive. Tu sais où est la machine n’est-ce pas ?

- Oui Madame

- Alors exécution et bien sûr tu restes à quatre pattes

Je suis en train de préparer la machine à laver quand Odile surgit. Elle s’est habillée :

- Parfait, tu penseras à étendre le linge quand le cycle sera fini. Je t’attends en bas.

Lorsque j’arrive en bas de l’escalier, je l’entends me parler depuis le salon :

- Va me chercher la paire de ballerine noire sous l’escalier. Je crois que tu connais le chemin ?

- Oui Madame

J’entre dans le salon avec sa paire de ballerines à la main. Elle se lève et s’approche de moi pour me gifler :

- Qui t’a dit que tu avais le droit de marcher debout ? A quatre pattes tout de suite. Prends les chaussures dans ta bouche.

Je m’approche du canapé.

- Chausse moi

Je retire délicatement ses tongs.

- Attends ! Renifle les !

Le cuir est imprégné de l’odeur très forte de ses pieds.

- Alors demande-t-elle avec curiosité

- C’est délicieux Madame

- Je m’en réjouis souillon, aller, mes ballerines

Je glisse ses pieds dans ses ballerines. Elles sont noires avec une boucle métallique. Je ne sais pas encore à quel point ce détail est important. J’ai eu le temps de ...