Primæ noctis
Datte: 01/01/2024,
Catégories:
fh,
jeunes,
religion,
uniforme,
Oral
pénétratio,
attache,
fouetfesse,
mélo,
aventure,
fantastiqu,
historiqu,
fantastiq,
Auteur: Radagast, Source: Revebebe
... Mais je bats ma coulpe de vous avoir laissée aux mains de cet ignoble personnage. Je vous demande humblement pardon.
— Je priais pour qu’un miracle survienne et me sauve… vous fûtes mon miracle, Chevalier, dit-elle en enfouissant le nez dans le cou de son sauveur.
Arrivé au château, il fit mander Jeannette pour qu’elle prenne soin de la jeune femme, qu’elle lui fasse prendre un bain et lui prépare une robe, avant de l’inviter à rejoindre la salle à manger.
Béranger tentait d’étudier un texte mi-latin, mi-occitan, mais il ne pouvait s’ôter de l’esprits les yeux rougis d’Aliénor et son petit corps pressé contre le sien, et surtout ces petits seins moelleux qui se soulevaient au rythme de sa respiration haletante.
— Messire, désolée de vous déranger… murmura Jeannette.
Les deux femmes attendaient à la porte. Aliénor avait revêtu une longue robe écrue et portait les cheveux libres sur les épaules.
— Aliénor, dit-il en se précipitant vers elle. Veuillez pardonner votre serviteur, je vous ai de nouveau, mise dans une situation épouvantable. J’implore votre pardon.
Tout en disant cela il posa un genou à terre devant elle.
— S’il y a quelqu’un à blâmer, il nous faut chercher près de ce fesse-Mathieu d’Enguerrand, un peu de mon père qui s’est mis à la merci de cet ignoble individu, et aussi de moi-même, qui n’ai pas osé m’opposer à mon père.
Alors qu’il écoutait la voix douce de la jeune fille, les yeux baissés, prêt à faire amende honorable, il vit avec ...
... stupéfaction la robe tomber sur les pieds délicats d’Aliénor. Décidément, l’histoire se répétait.
N’osant croire ses sens, il releva les yeux sur les genoux, puis les cuisses couleur de lait, et enfin se retrouva nez à nez avec le plus beau des animaux à fourrure de la création. Pour vérifier si ses yeux ne le trompaient pas, il tendit une main et caressa la peau satinée. Elle réagit par un frisson mais ne se déroba point. Encouragé, il avança les lèvres et déposa un baiser sur le creux de l’aine. Aliénor glissa les doigts dans la chevelure du chevalier, qui se releva en déposant une pluie de baisers sur le ventre, traçant avec ses lèvres une ligne de feu jusqu’aux seins et leurs tétins roses et sensibles.
Puis il saisit le visage d’Aliénor entre ses mains et embrassa les yeux, les lèvres, les joues de la jeune femme, dont la respiration devint erratique alors que les langues se trouvaient, se mêlaient, ne désirant faire qu’une.
Les mains de Béranger ne restaient inactives, caressant un sein, un dos, une fesse, et alors qu’il perdait les doigts dans le doux fouillis d’une toison blonde, Aliénor sentit les jambes se dérober sous elle, elle s’accrocha au cou de son sauveur.
— Madame, vous défaillez, laissez-moi vous aider.
Il passa un bras sous les genoux de la belle, son autre bras lui tenait le dos, il se dirigea vers la chambre alors qu’Aliénor enfouissait sa tête dans le cou de son sauveur. Il la déposa délicatement sur le lit, un grand feu ronflait dans la ...