La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1682)
Datte: 30/12/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... cette énorme bite entre mes lèvres pour mieux l’enfourner et la dévorer, tel que l’on m’avait appris à le faire au Château d’Evans. L’homme râlait, je ne parvenais pas à voir son visage, tant il avait un ventre énorme… A cet instant, je me souvenais d’une petite histoire qui m’avait été raconté par le passé : « Un homme est gros lorsqu’il ne se voit plus pisser, un homme est obèse lorsqu’il ne voit plus qui le suce ! » C’était son cas… oui, énorme, gras, ventripotent… Je souriais la bouche pleine tout en continuant à savourer la rugosité et le goût acide de cette lourde et longue tige cognant mon palais et ma glotte. Cette hampe était à son paroxysme, gonflée, dure et tendue à l’extrême. Je me l’enfonçais jusqu’à aller respirer l’odeur fauve de sa touffe pubienne. Je le voulais en moi, tout entier en moi, alors que tout explosait dans mon crâne, mon torse, et ma gorge. A ce stade de ma décadence, je réalisais que j’étais devenu un vrai pervers, bouffeur de bites, toutes les bites mêmes celles appartenant à des hommes laids, hideux et monstrueux. Ainsi je façonnais mon univers, mes désirs d’extrême soumission, mes désirs générés par un masochisme profonds me façonnaient… Cet homme face à moi que j’aurai fui autrefois, aujourd’hui, je le désirais, il m’embarquait au sens propre comme au figuré. Ses deux grosses mains me saisissaient les épaules et me trainait avec lui sur quelques mètres. Je le laissais agir, nonchalant comme si je n’étais qu’un pantin de chiffon désarticulé, ...
... envouté par sa force et sa robustesse. Il me plaquait contre un mur, mains plaquées sur celui-ci. D’un coup de pied entre mes chevilles, Monsieur Jean exigeait que j’écarte davantage les jambes. Alors je me cambrais instinctivement, lui en profitait pour me saisir les couilles dans sa main, les serrait, les tirait vers le bas pour me faire gueuler.
- Je vais te baiser comme une chienne, je vais de faire crier avec ma grosse bite !
Je lui tournais toujours le dos, lui plaçait sa bite à l’entrée de mon cul. Ses grognements et gémissements se répandaient dans toute la pièce. Direct, il m’enfournait tout entier, il m’enfonçait son gros sexe dans le cul. Monsieur Jean me perçait, me baisait, me dévorait, je sentais en moi toute l’onctuosité de sa force, de sa virilité, de sa folie, de sa fièvre puante, alors qu’il entamait ses mouvements si connus de va-et-vient, et à chaque coup de hanches, je partais avec lui. Il me baisait violemment, dans cette saillie bestiale, sa chair écrasant la mienne, tout entier en moi. Je me sentais être femelle, profondément femelle avec cette incompressible envie de me sentir pleine, remplie, profondément remplie, profondément baisée dans mon cul devenu un vagin à encombrer. Je criais, hurlais, de douleur, de plaisir, sous ses impressionnants grands coups de reins, à grands coups de butoir incessants, virils, amples et sauvages, Monsieur Jean me défonçait, me ramonait, me labourait alors que je décollais pour aller chercher l’extase, le plaisir ...