La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1682)
Datte: 30/12/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1681) -
Chapitre 52 bis : Loué à un inconnu -
- Voyez la qualité de cette rondelle, à la fois souple et tonique ! Comme vous le savez, mon cher Jean, les putains de Monsieur le Marquis sont tous des esclaves de qualité, que du haut de gamme ! … Le prenez-vous ?...
- Tout dépend du prix…, reprenait Jean ! Car je suppose qu’un esclave de Monsieur le Marquis d’Evans doit être inabordable.
- Le prix n’est qu’un détail, mon cher ami car j’ai eu juste avant votre venue, tantôt, une discussion téléphonique avec le Châtelain en personne. Et Il est d’accord pour louer Sa chienne a un prix raisonnable, je vous rassure. La seule chose qui compte pour Lui est de faire de Sa chienne une bête de sexe, une femelle assoiffée de copulations, d’en faire une femelle en constante chaleur à l’appétit insatiable… Et comme le plaisir n’a pas de prix, vous le savez bien, je puis vous assurer que vous ne serez pas déçu. Vous avez une occasion unique d’utiliser une chienne d’un des plus Grands Maîtres au monde et cela pour un prix acceptable… Et au pire, si vous étiez déçu, je peux vous assurer que cette chienne passerait un sale quart d’heure !
Madame Brigitte retirait ces deux doigts, qu’elle me donnait aussitôt à sucer. Et dès que le nécessaire fut fait, elle s’éloignait en tirant Monsieur Jean par la veste de son costume pour aller discuter un peu plus loin avec lui. Je ...
... les entendais chuchoter, mais n’entendais rien de ce qu’ils se disaient, alors que moi, ou plus précisément mes neurones se reconnectaient. Je réalisais que je n’étais plus qu’une chose, une valeur marchande, une véritable putain que l’on louait et que dans leurs chuchotement, ledit tarif acceptable se négociait… Une nouvelle humiliation, terrible, odieuse, qui pourtant me transcendait d’être loué comme une marchandise !
- Très bien Jean, je vous fais livrer cette chienne dans votre cabine habituelle, disait Madame Brigitte cette fois-ci à haute et intelligible voix.
Cet homme me répugnait, me rebutait. Il était là, devant moi, en sous vêtement, un slip difforme, à l’origine blanc, caché par un abdomen proéminant, flasque, tout débordant de graisse, avec des bourrelets de tous côtés. Il m’attendait, l’impassibilité froide au visage et un fouet à la main. Je connaissais mon rôle à présent, mon rôle de putain obligée, contrainte à subir les assauts de cet homme, alors à quatre pattes, je bombais mon cul devant lui pour qu’il le frappe.
- Tu n’as rien compris salope !, m’hurlait-il…
Sa voix résonnait dans cette pièce pourtant assez grande.
- Combien de coups de fouet te faudra-t-il pour que tu comprennes ce que tu es, sale merde, je veux te voir misérable, lamentable et rampant à mes pieds. Je veux te voir sucer mes orteils, la chienne...
Je me laissais tomber au sol, et ventre à terre, rampant sur mes coudes tractant le reste de mon corps, j’approchais de ces ...