La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1682)
Datte: 30/12/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... pieds plus que potelés et puants la transpiration. Alors que les premiers coups de fouet tombaient sur mon torse nu, sur l’intérieur de mes cuisses, sur la plante de mes pieds, je gémissais, pleurais mais acceptais chaque nouvel assaut sans jamais l’éviter, l’esquiver. J’étais là, à ma place de soumis-esclave-maso, agonisant de douleurs et de plaisirs, m’effondrant dans la souffrance et la délectation de mon masochisme inné, baignant dans des sensations terribles et jouissives, emporté par les endorphines sécrétées par mon corps défait. J’éprouvais même une forme de déception lorsque les coups cessèrent, lorsqu’il m’exigeait de me remettre à quatre pattes, alors qu’il enfilait un gant et plongeait sa main dans un sac plastique pour en ressortir et tenir entre ses doigts de grasses tiges de feuilles d’orties urticantes qu’il me montrait avec un pervers sourire en un rictus satanique et sadique.
- En levrette salope, écarte ton cul de putain de tes deux mains.
Il me fouettait avec les orties sans modérer ses coups… La douleur brulante se répandait tout au long de ma raie, sur mon anus, sur mes couilles et sur ma nouille, qui brutalement débandait. J’allais hurler lorsque ce sadique dépravé posait son pied nu sur ma tête m’écrasant violemment sur le sol, en ordonnant :
- Ta gueule salope, t’en désire encore ? Embrasse mon pied, la chienne !
J’embrassai, mon cul rendu fou par la douleur terrible des démangeaisons urticantes, je serrais les poings pour ne pas sombrer, ...
... pour ne pas me toucher le cul et les couilles, de ne pas me gratter les démangeaisons quasi insupportables. J’ouvrais grand la bouche et léchais ce pied immonde, prélevais la transpiration sous sa plante et comme lui ne réagissait pas, je continuais, léchant entre ses orteils, cherchant par ma langue n’importe quel moyen de l’apaiser et d’échapper à sa fureur. Au bout de quelques minutes, Monsieur Jean ôtait enfin son pied de mon visage pour le poser sur mes couilles, qu’il écrasait violement. Je pleurais, hurlais, lui me contemplait comme on contemple une pauvre bête, pitoyable, quelque chose qu’on ne veut pas retrouver chez soi, quelque chose qui nous apparait si pauvre et misérable qu’on est tenté de détourner le regard pour ne pas le blesser. Je l’entendais murmurer entre ses dents :
- C’est évident que tu aimes ça, la pute, sinon tu te serais défendu… t’es ce genre de petite merde qui aime souffrir, une petite lope qui aime et qui a besoin de se donner à n’importe quel prix. Tiens, prends ça maintenant.
En me disant ça, il m’attrapait par mon collier pour que mon visage arrive au niveau de sa grosse bite raide, sortie de ce slip peu ragoutant, glissée sous ses couilles poilues.
- Avale, salope, décrasse-moi, montre-moi ce que tu sais faire avec ta petite gueule de chienne en chaleur !
Son volumineux chibre décalotté sentait la pisse pourtant ma bouche s’activait sur ce sexe circoncis de belle dimension. Je léchais, suçais, avalais, laissais glisser doucement ...