Esclave de Mère - Ch. 04 et fin
Datte: 20/12/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... et de ton comportement, tu ne vas pas être la première que je vais dresser!
- Tu, tu veux me dresser (Mère est ébahie, mais malgré ma confusion, je ne la sens pas effrayée)
- Tu en rêves n'est-ce pas?
- Oh mon Dieu Sandrine (Nouvelle gifle, suivie d'un coup de pied entre les cuisses de Mère)
- Maîtresse dorénavant, tu m'entends? (Elle me fait peur, je ne l'ai jamais vue aussi redoutable)
- Oui Maîtresse (Mère rampe à ses pieds, c'est totalement déstabilisant pour moi, mais je ne dis rien évidemment, je ne fais rien évidemment, et finalement je ne pense rien)
- Je préfère cela, tu es comme Camille au fond, une vraie chienne, les chiennes ne viennent pas des chattes! Je vais parfaire Camille et en même temps je vais faire de toi une autre chienne, et tu vas avoir le même destin.
- Oh Maîtresse (Mère Gémis et tremble de tout son corps)
Je vois alors Mère se caresser et jouir dans un orgasme au volume inconnu, elle se tord dans tous les sens, les membres explosés de plaisir. Sandrine la regarde avec un sourire méprisant.
- Profites-en tant que tu as un clitoris. Tu hais tellement les hommes, je vais faire de toi une pute de bas étage, qui va se faire baiser à la chaîne, tu ne seras que trois trous béants comme ta progéniture.
Voir Mère ainsi est stupéfiant. J'ai l'impression que Sandrine a pris vingt centimètre de taille.
Du coup la vie à la maison a pas mal évolué. Plutôt en bien pour moi, car si je reste torturée et contrainte en permanence, ...
... c'est bien plus limité, avec mes couilles en point d'orgue (Sandrine m'a promis de s'en occuper dès que Mère serait mieux dressée), mon cul et ma taille. Qu'elle a décidé d'accentuer, puisque Mère ne s'y oppose plus, elle veut que je fasse un petit vingt-huit et je pourrais porter du 12 ans me dit-elle.
Le rythme de vie est lui le même, je m'occupe de toutes les corvées, je subis mon lavement profond deux fois par semaine, mais il est prodigué exclusivement par Mère, puis je dois le lui prodiguer à mon tour. Mère a interdiction de lever le regard sur moi, c'est quelque chose d'étrange, et cela modifie progressivement mon regard sur elle. Je ne suis plus terrifiée, car elle n'a aucun droit sur moi, et peu à peu je suis remplie du mépris que Sandrine lui témoigne. Un mépris d'une violence inouïe, et je sens Mère ployer un peu plus à chaque fois, tout en coulant et en se caressant frénétiquement. Je ne sais ce que Sandrine lui a fait, rien sans doute, mais cet aspect de Mère m'était totalement inconnu.
Mais les plus gros changements sont ailleurs. D'abord je suis bien plus chouchoutée, je suis parfois massée par Mère, souvent enduite de crème nourrissante pour ma peau ou mes cheveux, tout mon corps est définitivement épilé, je suis en permanence manucurée, maquillée, la peau ultra douce. Mon corps n'est plus jamais fouetté, et surtout, je suis libérée du corset la journée. C'est étrange car elle veut me resserrer, mais elle souhaite que je puisse aussi évoluer sans. Je me ...