Esclave de Mère - Ch. 04 et fin
Datte: 20/12/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... bien entendu, quand Sandrine a demandé à Sylvie s'il fallait lui supprimer la poitrine. Les deux femmes ont repoussé la décision! Pauvre Mère. Elle est tellement fébrile, se précipite aux pieds de ses Maîtresses, en totale dépendance et obéissance, je pense qu'elle est dressée. Alors que les deux Maîtresses nous apprennent que demain c'est notre grand jour, encore un, Mère est suspendue au plafond par ses seins, tandis que je le suis par mon paquet, nous gisons là comme deux lustres de décoration.
Sandrine a décidé de me délivrer de mes souffrances. En deux étapes, la première sans anesthésie, la seconde avec. Mais avant, je suis spectateur de l'opération sans anesthésie sur Mère, où Sandrine va lui arracher les ovaires. Sylvie est tellement excitée, elle essaie de se calmer en se faisant jouir maintes fois, mais sans résultat. Mère est solidement ligotée, hurle sans bruit, essaie de bouger, implore, mais rien n'y fait. Je trouve qu'elle donne vraiment envie de la torturer, et plus elle implore, et plus j'aurais envie de lui faire mal.
Sylvie prend plaisir à baigner ses mains dans le sang de Mère, embrasse Sandrine pendant l'ablation. Mère perd plusieurs fois connaissance, mais doit ouvrir la bouche pour avaler le premier puis le second ovaire. Elle pleure, mais Sandrine la force à la remercier en lui tendant la main à baiser. Elle recoud rapidement, Sylvie lèche le sang éparpillé et Mère est sortie de la table d'opération sans ménagement, l'opération est bénigne. Je ...
... ne suis pas certain que Mère, en pleurs, soit d'accord. Son visage ainsi tout lisse est magnifique, même les sourcils ont été supprimés, elle ne ressemble plus à un être vivant, mais à un manneauin en magasin! Et elle fait si jeune, c'est fou.
Je suis attaché tout aussi solidement, mon sexe et mes scouilles posées devant moi. Je suis soulagée depuis le temps que j'attends ce moment. Sandrine ne sait pas à quel point, car il ne s'agit pas seulement des souffrances occasionnées, mais surtout de ce qu'il signifie, de ce que j'étais et qui va disparaître. J'en suis comblée. Elle incise la peau des bourses, le sang coule à peine, j'ai une perfusion d'adrénaline. Je regarde fascinée, comme Sylvie. Mère est attachée dans une position obscène, nous montrant son cul atrocement dilaté par un gode enfoncé jusqu'à la garde. Ma pauvre Mère, elle semble à la fois tellement souffrir, mais tellement à sa place, je dois l'avouer.
Sandrine retire une boule sombre, reliée par un long fil, c'est étrange. La douleur est instantanée, très forte, mais franchement j'en ai connu tellement. Sandrine me regarde en souriant, coupe le fil, la couille pend par son fil. Elle s'approche de Mère et lui fait avaler l'horrible morceau, en souvenir de tout ce qu'elle a pu me faire souffrir. Mère voudrait hurler, mais n'émet qu'un peu d'air, pas même de bruit. Mon sexe bande, à ma grande honte. Je sais qu'il n'en a plus pour longtemps. La seconde couille subit le même sort, me voici soulagée. Le plus dur ...