Esclave de Mère - Ch. 04 et fin
Datte: 20/12/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
Je me suis totalement remise des opérations, et je reste surprise chaque fois que je croise mon image dans le miroir. Si je suis habituée, maintenant, à la lourdeur de ma poitrine, la vue de celle-ci provoque chaque fois une profonde excitation en moi, d'autant que l'ensemble créé par Sandrine semble plus sortir d'un manga que d'une réalité, tellement je me trouve jolie, affolante, sexy, fraîche et perverse à la fois. Un drôle de mélange. Mes anneaux tirent sur mes tétons, et avec la barrette derrière l'anneau, ils sont extrêmement proéminents.
Les choses changent à la maison, cela a commencé subtilement. Une remarque de Sandrine à Mère sur les marques qu'elle m'a faite avec un couteau. Des ébats entre elles de plus en plus bruyant et, à ce que je juge, de plus en plus violents. Des tortures me concernant qui se concentrent ces derniers temps sur mes précieuses couilles. Sandrine voulait que je la supplie de mes les enlever, mais je ne peux plus supplier, alors chaque jour je le lui fais comprendre. Mais elle me dit qu'elle n'est pas encore convaincue de ma vraie volonté. Et pourtant, je le suis, convaincue, tant elles me font souffrir continuellement.
Ce qu'elles préfèrent, quand elles ne me piétinent pas, c'est de les coincer entre deux plaques de plexiglass épaisses, et serrer autant que possible les deux plaques l'une contre l'autre, pour les aplatir, serrant les 4 vis progressivement, faisant une pause quand je m'évanouis, pour continuer ainsi au maximum de leur ...
... force! Je n'ai plus que deux masses écrasées, je ne comprends pas qu'elles n'éclatent pas. Les plaques sont percées de plusieurs trous, leur permettant de faire passer aiguilles ou broches, contacteur pour les électrocuter, voire la mèche de la perceuse. J'en pleure en continue, et ma seule satisfaction est de les voir se faire jouir sur le spectacle comme des folles, prendre des photos pour les publier sur un blog que Sandrine tient depuis le début.
C'est dans cette situation, complètement brumeux de tant de souffrance, que j'ai pu assister pour la première fois au basculement de leur relation. Tandis que Mère allait enfoncer une broche à poulet dans mon sein, Sandrine l'a violemment prise par les cheveux, l'a giflée, et jetée à terre, en lui intimant l'ordre de ne pas m'abimer, que j'étais son œuvre maintenant. J'étais choquée, non par ses mots, mais par sa violence. Mère a essayé de résister, mais Sandrine l'a giflée à nouveau, longuement, Mère se laissant finalement faire, et finissant par baiser les chaussures de Sandrine en lui demandant pardon!
- Ce n'est pas la première fois que tu me désobéis, maintenant cela suffit.
- S'il vous plaît Maîtresse, j'aime tellement cela
- Oui je le sais, mais ce n'est plus ton fils, c'est Camille ma créature, elle ne t'appartient plus. Et aujourd'hui j'ai décidé que tu ne t'appartenais plus.
- Pardon (Mère est interloquée, relève son visage vers Sandrine, qui lui assène une gifle terrible)
- J'en ai marre de tes crises ...