1. Amantes de Saint Jean – 1/3


    Datte: 19/12/2023, Catégories: fff, jeunes, inconnu, gymnastiqu, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, caresses, uro, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... comme le dit Laurence.
    
    Elle-même, c’était ça : plus lesbienne dans le fantasme que dans les faits. Jusqu’à la nuit passée chez elle, elle n’avait eu que des relations plus ou moins équivoques avec des collègues de son âge.
    
    — Sans doute des flirts légers, jusqu’à ce qu’elle te rencontre et prenne confiance pour aller plus loin. Et donc, les demoiselles parties ?
    — Nous avons pu enfin nous doucher, Charlotte et moi d’abord, et ce n’était pas du luxe !
    
    Je l’ai arrosée de gel douche d’autorité, y compris entre les cuisses malgré ses protestations. Elle était trop troublée et un peu dépassée pour refuser autrement qu’en minaudant de se laisser ensuite savonner les seins et le ventre malgré la présence de Laurence qui venait de nous rejoindre. Mais à ce moment-là…
    
    — Dis, Aline, ça te fait ce même effet sous la douche, le besoin absolu de faire pipi ?
    — Oh oui, une envie irrépressible, tout à fait pressante !
    — Eh bien, Laurence était à peine arrivée que j’ai ajouté mon jet à celui de la douche. Elle n’a pas vu de mal à ça, bien sûr, pour elle, c’est même banal. Ça l’a fait rire et elle a eu la même réaction instinctive. Et hop, pissou avec moi ! Comme à Versailles, au Grand Siècle, mais sans les robes.
    
    Du coup, Charlotte qui se retenait n’a plus pu tenir et s’est mise à pisser jambes serrées. On l’a traitée, gentiment, de cochonne, et on lui a dit que sa pudeur était trop stupide entre nous. Elle a fini par l’admettre, et s’ouvrir la chatte comme nous : en ...
    ... écartant les cuisses et en tirant sur les lèvres.
    
    À trois dans la cabine, ça n’a pas loupé : on s’est éclaboussées mutuellement de pipi. Mais avec l’eau qui coulait, ce n’était pas bien grave.
    
    — Bien sûr que non ! Après tout, vous vous laviez, hein ?
    — Ben oui ! Et au moins, dans cette communion de mictions, mes copines ont pu découvrir leurs clicli respectifs.
    
    Tu sais que celui de Laurence est naturellement très visible, pas disproportionné de taille, mais le nez en dehors de sa cachette au moindre tiraillement. Charlotte a un très gros clito, mais un capuchon en rapport. Le bourgeon n’éclot que s’il est excité – ce qui en l’occurrence était le cas – et quand Charlotte s’est finalement écarté la vulve pour son pipi, il était immanquable. Les deux ont pu comparer leur morphologie. Ça rapproche ! Et ça fait venir des idées.
    
    Laurence m’a demandé du regard si elle pouvait savonner Charlotte, elle aussi. J’ai pensé que le dos c’était mieux pour commencer, c’est plus anodin. Je me suis occupée de la partie face et Laurence de la partie pile. Encore un peu coincée, quand même, ma Charlotte. Les mains de Laurence sur ses fesses, ça allait, un doigt dans le sillon, non. Elle l’a repoussé avant qu’il touche l’anus.
    
    Pourtant je lui caressais les seins, le ventre, et enfin le minou, les mains coquines toutes douces de gel douche. Ses tétons étaient tout durs et son ventre se creusait. Quand j’ai touché ses lèvres, gonflées, hypersensibles, je n’ai pas pu résister au plaisir de ...