1. Amantes de Saint Jean – 1/3


    Datte: 19/12/2023, Catégories: fff, jeunes, inconnu, gymnastiqu, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, caresses, uro, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... cas, pas de bourge – sauf un petit reste chez Charlotte –, mais cinq paires d’yeux qui fixaient les entailles des deux invitées pendant leurs exercices à la barre. Une sixième paire, aussi, car Laurence était bien obligée de nous observer, hein, pour corriger nos défauts. Je ne dirais pas que les cinq filles avaient toutes des penchants goudou, mais je sais qu’il y avait huit femmes troublées, quel que soit leur âge ou leur rôle dans la scène !
    
    — Deux d’entre elles connaissaient tes goûts, en tout cas, et peut-être même une troisième : la coquine tête en l’air.
    — Ah, si elle a une bonne mémoire, Marie devait se douter que je n’étais pas seulement douée pour le rasage ou pour apaiser le feu de la lame par mes massages avec la crème. Ces massages que j’avais appliqués plutôt en profondeur après avoir écarté quelque peu largement sa fente - officiellement pour ne pas rater le moindre poil – et les sous-entendus de ma dernière remarque, en la quittant, avaient dû lui mettre la puce à l’oreille.
    
    Mais, à la vérité, toutes ces jeunettes étaient curieuses de voir le corps de deux femmes mûres, et Laurence était contente de voir un autre corps plus âgé que le sien – elle nous l’a confessé le soir, quand nous étions entre nous – tandis que Charlotte était surtout préoccupée de savoir sa grosse foune observée par des femmes plus jeunes. Moi, c’était mes seins ballottants qui me gênaient, mais bon, je m’y suis faite en me disant qu’on n’a plus leur âge ! Et puis la danse, c’est ...
    ... aussi accepter son corps et le montrer.
    
    Une fois les exercices terminés, Charlotte et moi avons un peu suivi la chorégraphie, juste pour voir qu’elle est assez compliquée. Ensuite, nous avons laissé Laurence à sa répétition, sinon nous l’aurions trop perturbée. Sauf que cette coquine nous a conseillé de continuer le travail à la barre, face à face pour nous corriger mutuellement. Ce qui ne changeait pas grand-chose vis-à-vis des autres, parce qu’avec le miroir… Je suppose qu’elle a voulu nous taquiner parce qu’elle savait que nous étions amantes.
    
    Cette exhibition a tout de même duré une heure, au total. Assez pour humecter convenablement le collant de réserve et raviver l’imprégnation de l’autre, et les rendre, disons, légèrement odorants tous les deux. Mais nous n’étions probablement pas les seules : Laurence a mouillé sa coque, elle nous l’a montrée, après. Et ma « protégée » avait une marque non équivoque au niveau des lèvres. De là à penser que les autres filles étaient dans le même état, ça me paraît logique.
    
    — Oui, logique ! Mais Laurence, elle était excitée parce que Charlotte et toi étiez là ?
    — Laurence mouille toujours un peu quand elle danse, elle m’en avait parlé l’autre fois. Mais nous voir exhibées dans cet environnement, ça l’a excitée pour de bon. C’était un bon présage pour la soirée, non ? Un présage confirmé, je peux te le dire tout de suite, ma chérie.
    
    Après une pause, elle reprit :
    
    — Ce que j’ai beaucoup apprécié aussi, c’est qu’elle n’ait ...
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