1. Amantes de Saint Jean – 1/3


    Datte: 19/12/2023, Catégories: fff, jeunes, inconnu, gymnastiqu, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, caresses, uro, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... pas vêtues très court – la minijupe, ce n’est plus de notre âge, hélas ! – robe ample pour Charlotte, robe boutonnée devant pour moi.
    
    — Mouais… Pas très pratique, ce genre de robe…
    — Je sais, c’est un peu long à mettre ou enlever, mais tu peux agrandir facilement le décolleté, ou déboutonner le bas, pour monter des marches un peu hautes, comme celles des trains par exemple. Les deux possibilités sont parfois utiles, non ?
    
    Bref, arrivées à Nice, petite promenade pieds nus sur la plage. Le sable est chaud, mais les galets c’est pire, et c’est ce qu’il y a le plus. Ils ont apporté du sable autour des accès. Ce n’est pas mieux !
    
    On a déjeuné d’un repas frugal – pas pour le prix je dois dire – et d’un rosé bien frais. Il faisait si chaud… Tellement que, après un tour aux toilettes pour la décence, le sac à main de Charlotte s’est retrouvé chargé de quelques grammes de plus de lingeries.
    
    Nouvelle balade en lisière des vagues pour digérer, les plats et l’addition, en profitant du soleil, les fesses libres sous le tissu. C’est fou ce que ça peut rafraîchir un courant d’air entre les cuisses. Mais alors, attention au vent ! Et au bord de la mer, il y en a toujours un peu, surtout quand on se met à courir… Parce que, à musarder tant et si bien, on a réussi à se mettre en retard pour le rendez-vous. La touche, à trottiner en tenant le bas de sa robe !
    
    Heureusement, on a vite trouvé un taxi. N’empêche qu’on est arrivées bien au-delà de l’heure fixée. Laurence était un ...
    ... peu chagrin de ne pas nous avoir accueillies plus tôt. Elle aurait sûrement aimé avoir plus de temps pour papoter avec nous, comme j’espérais qu’elle puisse faire connaissance avec Charlotte entre deux séances. Là, la précédente était terminée depuis longtemps et ses dernières participantes – des oisives qui se piquent de danse – quittaient le vestiaire.
    
    Mais au fond, c’était peut-être mieux. Charlotte s’est amusée de l’odeur ambiante qui lui rappelait celle des vestiaires de femmes du club de gym qu’elle fréquente de temps à autre. Nous avons plaisanté sur cette similitude de remugles caractéristiques et la glace a été vite rompue.
    
    — C’est vrai que les vestiaires des clubs de filles, gym ou danse, conservent une odeur spécifique. C’est très particulier : il y flotte des effluves de sueur ancienne ravivés de transpirations nouvelles, et toujours une fragrance sexuelle, tu ne trouves pas ?
    — Oui, oui. Je n’irais pas jusqu’à dire que ça sent la culotte oubliée dans le panier à linge sale, mais c’est un peu ça, avec en plus le mélange de tous les parfums intimes.
    — Un parfum qui réveille les sens pour des filles comme nous. Ce qui fait que nous rajoutons l’odeur de notre corps, et de notre chatte, à celle qui régnait déjà !
    — Nous n’en étions pas là, mais nos plaisanteries ont détendu le moment délicat de la rencontre. Bref, tout juste avions-nous pu boire un thé et échanger quelques phrases que déjà les étudiantes arrivaient. Les séances de fin d’après-midi leur sont ...
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