Amantes de Saint Jean – 1/3
Datte: 19/12/2023,
Catégories:
fff,
jeunes,
inconnu,
gymnastiqu,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
caresses,
uro,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... pas à jour. Un retour au hammam était programmé, mais nous n’avions pas encore pu y aller toutes les deux. Donc, pas une forêt vierge, mais bien loin du désert ! Et rien pour atténuer les ombres révélatrices. Je t’assure que sans coque – ça, elle n’en avait pas en stock – la moule et la broussaille se disputaient l’honneur de s’exposer !
Bonne occasion pour Laurence, tu me diras, de faire remarquer combien une bonne épilation et une coque étaient de rigueur pour une représentation convenable. Un poil (!) embarrassant pour nous, comme pour celle qui se trouvait dans la même situation, broussaille en moins.
Je dois te dire que nous nous sommes senties au centre de l’attention : ces filles ont l’habitude de se voir nues, et Laurence, vu la faible différence d’âge, c’est un peu comme leur grande sœur. Mais nous… C’étaient des femmes qui pouvaient avoir l’âge de leur mère qu’elles détaillaient, et la jeune Marie n’était pas la dernière à nous scruter !
— Tu l’attires. Elle en pince pour toi !
— Ou pour Charlotte, ou pour les deux, qui sait ?
Quoi qu’il en soit, Laurence, en nous faisant participer aux échauffements et aux exercices habituels, s’est crue obligée de corriger nos positions comme pour les autres. Pas de différence, sauf qu’elle a dû nous aider plus que les autres pour tirer sur nos muscles, bien remonter les jambes, et nous étirer à la barre. Nous étions un peu rouillées !
Évidemment, il y a des corrections qui réclament que la main se pose à des ...
... endroits où, quand il y a une coque, ça ne pose pas de problème. Mais sans… Par exemple, quand elle vérifie si les adducteurs forcent trop ou pas assez, la main frôle peu ou prou la vulve.
Avec une grosse motte comme Charlotte et moi, ça arrive forcément. L’ennui de l’absence de coque, c’est que si tu te retrouves excitée, difficile d’éviter que ça se voie sous le collant. Tes formes apparaissent un peu plus, surtout pour Charlotte avec son gros bouton. Ne ris pas : il faisait une petite bosse mignonne, un peu cachée par les boucles du buisson, mais de plus en plus visible.
Et quand Laurence te prend le buste pour te redresser, les seins aussi sont plus ou moins caressés. Alors, quand ils sont nus, des tétons qui pointent… ça se remarque plus ! Charlotte s’est d’abord rendu compte de l’effet en me voyant. Mais à la barre, devant le miroir, elle a eu la révélation de ce que, elle, elle montrait !
Quoique là, à bien regarder, tous les tétons étaient pointés. Ce qui est normal, et même nécessaire, car comme dit Laurence : « si les pointes ne sont pas durcies, c’est moche. »
— Elle a raison : une chorégraphie un peu coquine est plus plaisante.
— C’est vrai, la danse est essentiellement une exhibition du corps, l’art masque la chose, c’est tout ! D’ailleurs, il fut un temps où les danseuses étaient conviées à des parties fines après le spectacle. Avoir sa danseuse, c’était même la tradition chez les bourges du Dix-neuvième. L’expression est restée, non ?
Ici, en tout ...