Vieux Pervers Dégueulasses
Datte: 17/12/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byscribouillard, Source: Literotica
... mais en prenant garde d'économiser leur semence pour la suite. Une dame que je connaissais de vue recevait sous sa robe un cunnilingus de la part de son jeune fils, sous le regard complice du père au long braquemart dur. Tout le monde attendait que Thérèse succombe, et que la célébration tourne à l'orgie entre tous les fidèles. Le spectacle était si excitant que le Christ lui-même, sculpté de bois peint sur sa croix millénaire à côté du tabernacle, bandait sous son pagne. Il avait aussi a subi ce tourment.
À la surprise générale, au fouet s'est substitué le vibromasseur. Déception pour les uns qui attendaient un spectacle macabre à l'issue définitive, plaisir des yeux et des oreilles pour les autres qui préféraient l'éros au thanatos, car les orgasmes de Thérèse étaient sonores de hurlements, humides comme les brûlants geysers d'Islande, et communicatifs. Le Paraclet lui-même ne pouvait pas rester insensible à un tel chant de grâce.
Cependant, la position était très inconfortable pour notre amie qui, suspendue par les poignets, respirait avec peine. Nous l'avons détachée, et ses jolis pieds nus ont retrouvé le sol. Puis nous l'avons suspendue cette fois par les chevilles, aux mêmes fers, la tête en bas. Confuse d'être toujours vivante, elle ignorait ce qui l'attendait ensuite : l'ensemble des fidèles, toutes et tous, ont été invités à la rejoindre afin le lui exprimer tendrement leur joie que son péché soit enfin pardonné. Delphine elle-même, au micro, a admis qu'elle ...
... ne voyait plus l'intérêt de haïr encore cette pauvre femme qu'elle venait de fouetter.
Pas question pour autant d'accepter que ce soit la ruée, de se jeter sur elle comme des soudards au pillage : chacun son tour, avec dignité. Comme pour communier, une file d'attente s'est formée. On pouvait laisser, pour être plus à l'aise, ses vêtements sur le banc à condition de les remettre ensuite, pour le chant final. On passait deux par deux, pour une double pénétration, et pas question non plus de s'éterniser, car au matin, il fallait rendre l'église impeccable pour l'office de dix heures. Parfois, le mari et l'épouse passaient ensemble, Madame équipée d'un gode-ceinture -- on pouvait en emprunter à la sacristie, de même que des préservatifs étaient à disposition. Ou bien, pour les adeptes du sexe oral, on pouvait pratiquer le cunni ou l'anulingus. Ou insérer son manche ou sa chatte dans la bouche. Ou, en montant sur un escabeau, s'exciter sur les pieds de notre pénitente. Tout ce qu'on voulait, à condition de ne pas lui faire de mal et de contenter d'admirer les estafilades causées par le fouet, sans y toucher. La semence dégoulinait sur le ventre, le dos, les bras, et gouttait sur le sol.
À la fin de la célébration, les hommes avaient les testicules à sec. Ceux à qui il restait quelques forces pouvaient étreindre leur épouse, ou toute autre partenaire qui voulait bien, sur le banc. Plus un seul gars n'était puceau.
Quelques mois plus tard, Thérèse a fini par mourir dans nos ...