1. Vieux Pervers Dégueulasses


    Datte: 17/12/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: byscribouillard, Source: Literotica

    ... avec soin par une maquilleuse professionnelle, Thérèse s'est présentée au micro afin de témoigner de sa faute, avec tous les détails et circonstance de l'accident qui avait coûté la vie au petit Lucas, sans rien oublier, ni son ivresse au moment des faits, ni sa lâcheté d'avoir fui ses responsabilités. Delphine, au premier rang, s'agrippait à son banc en entendant la tragédie de son fils unique. Elle était vêtue d'un vêtement de cuir rouge vif ajusté à sa peau, avec des gants et des bottes de même couleur, et tenait le fouet à la main. Dans l'assemblée régnait un silence absolu et chacune, chacun était suspendu aux lèvres de Thérèse qui ne lisait aucun texte, mais improvisait son récit avec ses mots à elle. Lorsqu'elle a eu terminé, tant l'émotion était grande que de nombreux visages de l'assistance étaient couverts de larmes, et tout le monde a longuement applaudi la sincérité de ce témoignage.
    
    Puis est venu le moment de l'absolution. Thérèse s'est mise à genoux. Le Père Pierre a posé sa main du la tête de la pénitente. Celle-ci était pardonnée. Mais il restait une étape : l'expiation du péché.
    
    Thérèse a dû se dévêtir totalement devant toute l'assemblée qui n'en perdait pas une miette. Ceci était très intimidant, mais sa formation d'esclave sexuelle l'a aidée à surmonter l'épreuve de la nudité en public. L'humiliation fait partie du châtiment. Elle a pris son temps, mais elle n'a pas tremblé, et même soutenu le regard sévère de Delphine qui se préparait à entrer en ...
    ... action.
    
    J'ai attaché Thérèse par les poignets à des fers reliés à des chaînes fixées au plafond de l'église. Installer ce dispositif, durant la soirée qui a précédé, n'avait pas été une mince affaire, car il y avait plus de dix mètres de hauteur. J'ai hissé notre repentante d'un mètre environ, afin que le public la voie bien, tout en laissant son corps accessible à la caresse brutale du fouet.
    
    Delphine s'est avancée. Son visage était dur. Elle s'apprêtait à faire justice elle-même. Un claquement du fouet sur la pierre du sol, avec le bruit caractéristique de l'extrémité de la lanière franchissant le mur du son, a rappelé à tous combien cruel est ce supplice. La main gantée a caressé la peau fragile des cuisses et du ventre.
    
    Thérèse souriait. Elle était prête à endurer le pire, persuadée qu'elle n'y survivrait pas. Dans son testament, elle nous avait légué le peu de biens qu'il lui restait. Nous lui avons même montré le cercueil qui lui était destiné. Tout ceci n'était que du cinéma, car il n'était pas question de mourir, ni même de trop blesser. Si Delphine était avisée de fouetter à l'excès, nous l'aurions interrompue.
    
    Flagellation raisonnable donc, mais calvaire quand même : il y avait du sang qui fusait par gouttelettes, y compris sur l'assemblée. Le choc du cuir sur la peau était sonore, et s'accompagnait d'un cri de douleur. Un son qui excitait beaucoup les fidèles, dont certains se masturbaient déjà en sortant sans pudeur les oiseaux de la braguette ouverte, ...