1. Vieux Pervers Dégueulasses


    Datte: 17/12/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: byscribouillard, Source: Literotica

    Il faut l'admettre : ma femme Karine et moi, qui me prénomme Stéphane, constituons un couple de vieux pervers bien dégueulasses. Ensemble, nous irons à notre mort directement en enfer, par la voie express, sans qu'il soit utile de tergiverser auprès de Saint-Pierre. Mon adorable épouse est aussi cochonne, lubrique et dépravée que moi : c'est pourquoi je l'aime tant. Mais avant de mériter ces qualificatifs, nous étions de jeunes vicieux en cours de formation... non moins dégueulasses!
    
    En ce temps-là, nous étions trentenaires sans enfant et vivions dans un appartement au-dessus du cabinet de Karine, qui est médecin généraliste. Un samedi matin, notre amie Thérèse, une aimable veuve septuagénaire que nous avions rencontrée à la messe, nous a appelés afin de m'appeler à l'aide : son ordinateur portable venait de rendre l'âme et elle avait absolument besoin de lire sa messagerie. En entendant cela, ma verge a bondi dans mon slip, tant les idées de débauche se bousculaient dans mon esprit d'obsédé. Karine consultait ce matin-là : je l'ai prévenue par texto. Elle m'a répondu : amuse-toi bien, mais ne m'oublie pas, mon cochon. Le cochon n'allait pas oublier sa douce et tendre complice.
    
    Suite à une chute sur le carrelage de la cuisine, le disque dur de l'ordinateur de Thérèse avait brutalement atterri. Je l'ai remplacé par une pièce que j'avais en stock, puis j'ai réinstallé le système et restauré les données. Cela m'a pris quelques heures pendant lesquelles elle m'a abreuvé ...
    ... de café, ce qui a achevé de m'exciter, mais n'a pas posé de difficulté à l'informaticien que je suis. Sur le bureau trônait le portrait bordé de crêpe noir de Gérard, son défunt époux qu'une épectase dans les bras d'une prostituée avait emportée trois ans auparavant.
    
    Elle voulait absolument me payer pour cette intervention, au tarif d'un technicien à domicile, ce qui, je le savais, aurait mis à mal ses finances de retraitée. Si j'avais accepté, elle se serait discrètement privée de quelques repas pour finir le mois.
    
    Mais j'ai refusé son argent : un ami ne fait pas cela, et puis j'avais déjà un bon job correctement payé, sans parler de ce que gagnait Karine comme médecin. Elle a alors voulu nous inviter au restaurant ou chez elle, ce que j'ai décliné aussi. En revanche, je lui ai proposé de venir dîner chez nous le soir même.
    
    En formulant cette invitation, j'ai posé une main sur ses fesses, d'une manière familière, sans insister. Ce geste l'a surprise. Mais elle a tout de suite compris de quoi il s'agissait. Elle s'étonnait qu'on puisse encore la désirer à son âge. Pour Karine et moi, peu importait le nombre d'années : la chair féminine est toujours précieuse. Thérèse était soulagée de s'en tirer sans dépenser d'argent. Elle avait cependant une consigne : venir chez nous à vingt heures précises, à pied -- elle n'habitait pas loin -- vêtue de la longue robe noire qu'elle portait lors des obsèques de son mari, à l'exception de tout autre vêtement : ni chaussures, ni ...
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