La panne d'ascenseur (1)
Datte: 07/07/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Nkari, Source: Xstory
... les autres. Et toujours sa queue durcie sous ma joue, à la fois flatteuse et menaçante, qui me perturbe ; avec la faible épaisseur de son jogging, on la sent aisément. Dieu, je suis folle de ne rien faire !
Victor écarte maintenant les pans de ma chemise. La fraîcheur s’attaque à ma chair ; ses doigts aussi. Ils se glissent dans mon soutien-gorge et m’agacent les tétons. Je me mords la lèvre pour m’empêcher de protester. Un frisson me parcourt le dos tandis que mon entrejambe s’humidifie. Je suis fidèle, pourtant ; il en est encore temps de tout arrêter.
Mes seins sont libérés de leur entrave, prêts à subir tous les sévices que leur infligera Victor. Ce salaud en profite bien. Oui, on sent qu’il apprécie vraiment ma poitrine. Il la caresse, la palpe, s’amuse de mes mamelons. Je laisse échapper un soupir de plaisir et me fustige aussitôt mentalement ; je n’ai pas le droit : je suis fidèle, et il est encore temps.
— Je peux te demander quelque chose, Clémentine ?
Je refuse de répondre ; j’ai peur de répondre. Ses doigts voguent sur mon cou, ma joue, puis mes lèvres. Je dépose un petit baiser dessus bien malgré moi.
— Aurais-tu l’obligeance de me sucer ? À sentir ta tête posée sur mon sexe depuis tout à l’heure, j’en ai vraiment très envie.
— Je... je suis fidèle, tenté-je.
— Oui, j’avais compris. Mais en as-tu envie ?
Encore une fois, je refuse de répondre. Peut-être que si je fais la morte, il va finir par abandonner. Oui, je sais, c’est une stratégie ...
... stupide mais je suis désespérée et n’ai pas de meilleure idée.
— Clémentine, je sais que toi aussi tu en as envie. Tu te dis fidèle ; alors sois fidèle à tes désirs. Tu es jeune, profite de la vie.
Je me redresse doucement. Il en profite pour libérer la bête. Toujours dans le noir, je ne la vois pas mais je sens une odeur masculine me sauter au nez. Il me prend une main et la pose sur son membre épais, chaud et dur. Je ne trouve rien d’autre à faire que de le masturber avec douceur. Peut-être se contentera-t-il de ça ?
Il est encore temps de mettre fin à cette folie. Une main se pose dans mes cheveux et fait pression sur mon crâne sans forcer, m’indiquant la marche à suivre. Je me laisse manipuler. Mon visage descend lentement. Mes lèvres se posent sur son gland mais elles restent closes. Il est encore temps... Non, cette fois ma décision est prise : j’ouvre la bouche et savoure ce mets d’un coup de langue.
Son goût, plus sauvage que celui de mon copain, m’envahit le palais. À partir de là, je n’ai plus guère d’hésitations : je crois que j’irai au bout avec lui, que je ne ferai pas marche arrière. Quant à ma relation, ben, je verrai bien ; il est trop tôt pour y penser. J’avale son membre sur sa longueur, en gobe le plus possible. L’épaisseur de la bête rend la tâche ardue. Victor laisse échapper un râle de satisfaction.
Il ne reste pas inactif ; sa main retourne rendre hommage à ma poitrine. Elle se fait ensuite plus vagabonde. Migrant vers le bas de mon corps, ...