1. Morgane de toi


    Datte: 14/12/2023, Catégories: fh, vacances, bain, forêt, campagne, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, ffontaine, Masturbation nopéné, Auteur: Fitiavana, Source: Revebebe

    ... derrière le tronc d’un chêne, je l’aperçois gigoter un peu, elle revient rapidement en rajustant sa brassière de sport sous son habit.
    
    — Dans ma brassière, j’ai caché un gland. N’y vois aucun mauvais jeu de mots, c’est ce que j’ai trouvé. Tu vas deviner de quel côté je l’ai mis. Si tu tombes juste, tu restes avec moi. Sinon…
    — Le gauche !
    — Tu es sûr ? Viens vérifier…
    
    Je passe la main dans son décolleté, puis sous sa brassière. Je caresse son sein gauche, fouillant de mes doigts les recoins du tissu qui soutient sa poitrine. J’en retire le petit fruit qui scelle notre destin, un peu dérouté quand même que ça ne tienne qu’à un jeu de hasard. Et si je m’étais trompé ?
    
    Émilie me prend par la main et me sourit :
    
    — J’ai l’impression que tu restes avec moi…
    
    Pendant la fin de la matinée, nous abordons des sujets plus légers. Émilie me parle de son travail, de la vie en Suisse, objet de tous les fantasmes chez mes compatriotes. Nous nous moquons gaiement l’un de l’autre, énumérant pendant quelques minutes les vannes classiques que Suisses et Français aiment s’échanger au sujet de leurs régionalismes respectifs, des classiques huitante et nonante aux truculentes expressions romandes, telles que le chenit(le désordre), la mascogne(l’anti-sèche) ou les vacances de patates(celles de la Toussaint).
    
    Quand nous avons éclusé le répertoire habituel des clichés transfrontaliers, nous décidons qu’il est l’heure de ruper(manger), et nous nous arrêtons à l’ombre des ...
    ... pins.
    
    Comme la veille, Émilie enlève le haut. C’est quand elle retire sa brassière que je vois quelque chose tomber de son sein droit. Je ramasse un gland, tout semblable à celui qui se trouve dans ma poche.
    
    — Émilie, je ne suis pas garde champêtre et mes connaissances de la flore locale sont des plus réduites, mais il me semble que nous sommes dans une forêt de conifères, et que les glands poussent plutôt sur les chênes…
    — Tu crois ? Ah, il a dû s’accrocher à mes habits tout à l’heure, sans que je me rende compte.
    — Menteuse !
    — Trouillard !
    — Tricheuse !
    — Bah, il faut savoir forcer son destin… et moi, j’crois bien que j’suis Morgane de toi ! Tu veux qu’on recommence, avec un seul gland cette fois ? Ou tu préfères chercher le troisième ?
    
    J’écarquille les yeux. Émilie baisse les siens et désigne d’un regard explicite son entrejambe. Je m’approche d’elle, incrédule, et je commence à caresser ses fesses à travers le tissu de son short, mais aucun renflement ne trahit la présence d’un intrus végétal dans ses habits. Je risque une main à l’intérieur, Émilie me vient en aide en ouvrant boutons et ceinture, mais mes recherches restent vaines.
    
    — Attends, je vais t’aider…
    
    D’un geste rapide, Émilie enlève son short et se colle contre moi, vêtue de sa seule culotte.
    
    — Cherche encore.
    
    Je glisse une main, puis deux, sous le coton. Je palpe ses fesses, ses hanches, toujours rien. Je passe mes doigts entre ses fesses, effleure son périnée, puis je m’aventure le long de son ...
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