1. Ma vie (sexuelle) en 11 moments-clés


    Datte: 13/12/2023, Catégories: fh, extracon, fête, Collègues / Travail collection, amour, journal, roadmovie, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... Mathilde. Quand nous sommes avec Hubert, je ne vous entends jamais.
    — C’est vrai, je ne suis pas bavarde. Mais j’écoute, et j’observe. Par exemple, je sais que mon mari me trompe en permanence, je sais que vous êtes au courant et que cela vous gêne. C’est pour ça que je vous trouve sympathique.
    — Merci. Mais je ne peux pas en parler, vous comprenez ? Et vous ? Je veux dire, il n’est jamais là, vous pourriez en faire autant.
    — Oh, je n’ai pas été élevée comme ça. Et puis, qui pourrait s’intéresser à une femme comme moi ?
    
    Mathilde a la cinquantaine, une poitrine généreuse, et elle s’habille comme un sac. Je déteste que les femmes n’aiment pas leur corps, je trouve ça injuste. Même les plus vilaines peuvent nous faire du bien si on sait les mettre en confiance et Mathilde n’est pas si vilaine, elle a des yeux très bleus et une jolie bouche.
    
    — C’est stupide de dire ça, Mathilde. Vous pouvez séduire n’importe quel homme si vous le souhaitez.
    — Oh, c’est gentil, Antoine, mais je ne peux pas vous laisser dire des bêtises.
    — Et si je vous dis que cette conversation suffit pour que je vous désire ?
    — Je ne vous crois pas. Vous avez une jolie petite femme. D’après Hubert, c’est « une belle pouliche ».
    — Il ne s’agit pas de la remplacer, Mathilde, juste de passer un bon moment, dis-je en la rejoignant sur le canapé. Laissez-vous faire.
    
    Elle devient écarlate, mais ne dit rien. Je l’embrasse sur la bouche et bientôt nos salives se mêlent. J’ai une main sous sa jupe et ...
    ... j’atteins assez vite une culotte en coton toute mouillée. Je cesse de l’embrasser et commence à déboutonner son corsage.
    
    — Non, non, dit-elle. Pas ici, Antoine, venez dans ma chambre.
    
    Je la suis et la déshabille. Ses gros seins sont encore splendides et je joue avec tandis qu’elle sort mon engin de mon caleçon. Sans enlever sa culotte ni mes chaussettes, elle m’enjambe et s’enfile sur mon membre bien tendu. À l’intérieur, c’est brûlant et liquide. Je prends ses grosses fesses à pleine main et guide ses mouvements. Elle se penche sur moi et me gifle le visage avec ses seins en me traitant de « petit salaud d’amour ». Elle jouit et je remplis sa caverne de foutre.
    
    Après un moment de silence et de respirations haletantes, elle se laisse retomber sur le dos, à côté de moi.
    
    — Antoine, Antoine, vous êtes un jeune homme formidable. J’ai l’impression d’avoir rajeuni de vingt ans. Quelle heure est-il ? Dix-neuf heures. Restez pour la nuit, vous serez gentil. Je n’en ai pas eu assez.
    
    J’envoie un SMS à Hubert, invente une panne de train et dîne avec Mathilde qui est une excellente cuisinière. Ensuite, on prend une douche ensemble, je savonne avec application ses orifices et la baise et l’encule tandis que l’eau chaude coule sur nos têtes. Plus tard, Je la prends comme une grosse chienne et elle meugle comme une vache quand je la fais jouir. On ne dort pas beaucoup et elle m’accompagne en peignoir sur le perron quand je m’en vais.
    
    — Tu reviendras ? me demande-t-elle.
    — ...
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