1. Sexe en entreprise : présentation et action


    Datte: 12/12/2023, Catégories: ffh, frousses, Collègues / Travail grossexe, groscul, hotel, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral préservati, pénétratio, fsodo, portrait, Humour occasion, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... mais lui aussi est pisté par sa femme. Agnès n’a pas baisé depuis sa séparation, enfin, je crois. Elle est mûre à point. Il faut juste l’aider un peu.
    — Si tu pouvais lui en parler…
    — OK, je vois ça. Mais toi, tu n’es pas pour la paix des ménages.
    — Tu peux parler !
    
    Le café étant terminé sur ces belles paroles, les deux collègues retournent au boulot.
    
    *******
    
    Pendant que Coralie se débrouille pour avoir son amant adultère, Jean-Pierre, plus longtemps avec elle, Delphine se rend à l’infirmerie pour combattre une migraine persistante. Malgré l’heure d’ouverture, la porte est verrouillée. Elle sonne. Rien. Elle sonne encore, plusieurs fois. Enfin, la porte s’entrebâille. La tête auburn de Maryse apparaît au-dessus d’une blouse déboutonnée en haut, dévoilant la naissance d’un sein.
    
    — C’est pour quoi ?
    — J’ai mal au crâne. Tu peux me donner un Doliprane 1000 ?
    — Tu ne peux pas revenir un peu plus tard ?
    — Non, c’est urgent.
    
    Maryse soupire.
    
    — Tu m’emmerdes.
    — Eh oh, et le boulot, alors ?
    
    Maryse approche son visage de celui de Delphine et lui murmure à l’oreille :
    
    — S’il te plaît, reviens un peu plus tard. Je suis en train de baiser.
    
    Delphine ouvre grand la bouche, surprise, et éclate de rire.
    
    — Ah pardon. Amuse-toi bien, mais ne m’oublie pas, hein ?
    
    La rouquine ne s’éloigne pas. Elle colle son oreille à la porte et entend le grincement du lit d’examen. « Comment la prend-il ? » se demande-t-elle. Elle imagine le couple en train de forniquer ...
    ... sur la couche inconfortable, peut-être l’homme dessous et Maryse cavalant sur sa bite. Elle l’entend clairement gémir, commenter et même s’exclamer « ah, c’est bon, c’est bon, je jouiiiis ». Elle reste à porter de regard de la porte de l’infirmerie. Quelques minutes s’écoulent avant qu’elle ne voie sortir rayonnant le grand Stéphane, un vrai queutard qui a sauté Marjorie et elle-même, sans doute entre autres. Il ne l’a pas vue. Aussitôt, Delphine sonne à la porte de l’infirmerie. Maryse ouvre, la coiffure défaite, les joues roses. Elle reboutonne sa blouse.
    
    — Tu aurais pu attendre cinq minutes, dit-elle à Delphine.
    — C’est urgent, je te dis, j’ai la tête comme une enclume. Bon, c’était bien ?
    — Super, comme d’hab. Mais tu sais de quoi je parle, non ? Je le sais, tu l’as eu aussi entre tes jolies cuisses.
    — En effet. Il t’a prise comment ?
    — Qu’est-ce que ça peut te faire ?
    — Tu étais dessous ou dessus ?
    — Les deux, ma capitaine.
    — Tu vas finir par le faire craquer, ton plumard, à force de baiser dessus.
    — T’inquiète pas, il est solide. Tiens, voilà ton Doliprane et fiche-moi le camp. Et motus, hein ?
    — Pas de problème. Entre femmes, on se comprend. Mais fais gaffe quand même. C’était gonflé de faire ça sur tes heures de boulot. Et tu n’es pas discrète quand tu baises.
    — Le corps a ses raisons que la raison ne connaît pas, conclut Maryse dans un sourire complice.
    
    Bien entendu, Delphine s’empresse de raconter à Marjorie la scène qu’elle vient de vivre, en dépit ...
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