1. Sexe en entreprise : présentation et action


    Datte: 12/12/2023, Catégories: ffh, frousses, Collègues / Travail grossexe, groscul, hotel, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral préservati, pénétratio, fsodo, portrait, Humour occasion, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... de sa promesse à Maryse.
    
    — Ah, la salope ! Sous ses dehors BCBG, c’est une folle du cul. Remarque, vu son âge, ça nous donne des espoirs, glisse Marjorie.
    — Tu l’aurais entendue… « Ah oui encore, elle est bonne ta bite, mets-la-moi bien profond, etc. » Le Stéphane est sorti tout réjoui.
    — Bon, arrête, tu me mets le feu et je vais encore être obligée de faire mon bonheur moi-même. Au fait, tu es au courant pour Agnès ? Elle l’a eu, son alibi pour Christian.
    — Oui, Coralie a fait ce qu’il faut. Je crois que notre gentille divorcée va enfin passer à la casserole.
    — J’ai hâte de savoir. Je suis sûre qu’elle va tout nous raconter ; quand elle se lâche, c’est un moulin à paroles.
    
    *******
    
    En vérité, c’est à Marjorie qu’Agnès se confie et non à Delphine. Cela se passe évidemment à la machine à café où elles sont seules. Agnès aime bien Marjorie parce qu’elles se ressemblent en bien des points. Même petite taille, même corps pulpeux et fessu (mais de plus gros seins chez Agnès), même situation matrimoniale et familiale (un fils pour Agnès, une fille Marjorie, à peu près du même âge) et de fréquentes occasions de (bien) travailler ensemble. Marjorie a juste renoncé à se teindre les cheveux et laisse les fils blancs parsemer son épaisse toison brune alors qu’Agnès est devenue une fausse blonde. Et celle-ci est un peu plus âgée que sa collègue. Mais à ce stade, cela importe peu.
    
    — Il faut que je te dise un truc, dit Agnès. Christian me drague. Tu le connais bien, non ?
    — ...
    ... Euh… oui, assez bien même.
    — Tu as couché avec lui, c’est ça ?
    — Oui, et alors ?
    — C’est un bon coup ?
    — Tiens donc. Tu te décides à sortir du marasme ? Cela fait combien de temps que tu n’as pas baisé ?
    — Deux ans au moins. Alors ?
    — C’est un queutard. J’espère que tu n’es pas amoureuse.
    — Non, rassure-toi. Mais deux ans, ça suffit. Je ne sais même plus comment est faite une bite.
    — La sienne est grosse. Et vaillante. Cela te suffit comme info ?
    — Oui et non. J’ai rendez-vous avec lui ce soir chez moi. En principe pour dîner. Mais je me doute qu’on va baiser après. Je t’invite aussi. Aide-moi, je n’ai plus confiance, je suis même morte de trouille.
    — Quoi ? Tu veux que je tienne la chandelle ? Très peu pour moi. Débrouille-toi, tu es assez grande.
    — Tu es vache. Je te croyais une amie. En fait, tu me laisses tomber.
    — Mais non. Enfin, quoi, tu as cinquante balais ou dix-sept ans ?
    — C’est comme si j’avais dix-sept ans, sauf que mon corps en a cinquante. Bon, je n’insiste pas. Va te faire voir.
    
    Et Agnès jette son gobelet dans le réceptacle avant de s’échapper, laissant Marjorie interdite.
    
    Cette scène l’a ébranlée. Elle aime trop Agnès pour lui faire de la peine. Mais la situation qu’elle lui propose est incongrue. Après une longue réflexion, elle décide d’envoyer un mail à sa collègue pour lui dire que, bon, d’accord, elle ira à son invitation ce soir, mais sans s’attarder quand les choses seront bien lancées. Agnès lui répond avec des cœurs sur son email. ...
«1...345...»