Sexe en entreprise : présentation et action - Histoires de Sexe

Sexe en entreprise : présentation et action

... féminin a sa correspondance avec un écheveau de mâles bourré de testostérone, fort enclin à l’adultère et objet des conversations de ces dames, propos souvent fort critiques à la machine à café, beaucoup moins dans les bureaux désaffectés, les archives au sous-sol ou au Formule 1 à quelques centaines de mètres. Car toutes celles que nous avons nommées (saufa priori Cathy) sont des « femmes qui baisent », effectivement ou potentiellement. À temps plein ou partiel.

Ce jour-là, Coralie prend Marjorie à part, son café à la main :

— Dis donc, Jean-Pierre n’arrête pas de me draguer. Tu as déjà couché avec lui, non ?
— Oui et alors ?
— C’est un bon coup ?
— Tu veux que je te donne aussi la longueur de sa queue ? Va voir toi-même.
— T’es vache. Tu pourrais avoir pitié d’une pauvre fille qui n’a pas baisé depuis trois mois.
— Tu n’avais qu’à garder ton mec.
— Mais c’est lui qui voulait réfléchir…
— Bon d’accord. Jean-Pierre en a une grosse, une très grosse même. Voilà, tu es contente ?
— Et il sait bien s’en servir ? La grosseur, ça suffit pas.
— Très bien. Mais il a peur de sa femme. Ce sera un coup discret.
— Je n’ai pas l’intention de m’en vanter. Mais tu me mets en appétit. J’ai un faible pour les grands formats. J’ai de la place.
— Alors, vas-y, envoie-toi en l’air et fiche-moi la paix.

Marjorie est d’assez mauvais poil, car en ce moment, elle manque de sexe. Miguel, son dernier amant, est en déplacement et ils ne baisent plus que par Skype. Elle lui a promis ...

... un festival pour son retour, mais en attendant, c’est le gode qui a la vedette. De savoir que Coralie va faire connaissance avec la grosse bite de Jean-Pierre l’a énervée entre les cuisses. Elle soupçonne Coralie d’être une belle salope qui la joue frustrée. Elle va bien s’entendre avec ce gros cochon de Jean-Pierre, c’est certain.

Deux jours plus tard, les deux collègues se retrouvent à la cafétéria avec Delphine et Agnès. Marjorie attend que ces dernières aient fini de déjeuner et rapporté leur plateau pour interviewer Coralie :

— Alors, Jean-Pierre ?

Coralie baisse la voix et lâche en gonflant ses joues :

— Oh là là ! Pfff ! J’ai la chatte et la rondelle en feu. On a baisé hier soir après le boulot à l’hôtel. Ah ça, pour être grosse, elle est grosse ! Jamais été aussi bien remplie. J’ai rattrapé trois mois de diète en une heure. Il m’a dit que j’étais un super coup, ça fait plaisir quand on a été larguée pour le cul d’une petite salope.
— Et tu vas le revoir ?
— J’espère bien, mais chez moi cette fois. Qu’on ait vraiment le temps de baiser ! Mais il lui faut un alibi. Tu connais sa femme ?
— Euh non…
— Ah oui, j’oubliais qu’il l’a faite cocue avec toi. À qui je pourrais demander de lui donner un prétexte pour une absence prolongée ?
— Agnès peut-être. Quand elle était mariée, ils se fréquentaient entre couples. Mais il faudra que tu lui donnes quelque chose en échange.
— Et quoi donc, grands dieux ?
— La même chose. Je sais que Christian lui court après, ...