Chapitre II – De drôles de paroissiens
Datte: 02/12/2023,
Catégories:
fhhh,
bizarre,
train,
fsoumise,
humilié(e),
Oral
fsodo,
Partouze / Groupe
délire,
Humour
fantastiqu,
fantastiq,
Auteur: Iovan, Source: Revebebe
... ! T’as pas payé ton billet, hein ? T’inquiète ! On se retrouvera.
Il sortit, jetant :
— Je vous laisse finir la pute, vous autres !
À peine eut-il quitté le compartiment que les quatre crétins, précités, qui étaient restés curieusement absents et sans réaction tant que le délétère personnage était là, se manifestèrent à nouveau dans toute la volubilité et l’assurance des grandes gueules qu’ils étaient. La vieille retrouvait vie elle aussi et s’installait confortablement.
Peppone, en homme d’action, fit un discours et prit la direction des opérations.
Carla, que le noir employé des chemins de fer avait amenée à un point d’excitation extrême, avait besoin d’assouvir les désirs et tensions lubriques qui la tordaient, nouant son ventre et ses reins. Elle accueillit les étreintes bestiales et les caresses obscènes de ses bourreaux avec résignation, soulagement, et peut-être même un certain plaisir.
Elle fut baisée, sodomisée, à plusieurs reprises, et dut tous les sucer tour à tour, avalant éjaculation sur éjaculation, elle fut facialisée, couverte de sperme. Ils ne la lâchèrent, dévastée, qu’après avoir totalement vidé leurs couilles.
Alors, avec des éclats de voix qui se voulaient mâles, des plaisanteries lourdes et des ...
... rires gras, ils s’en allèrent, laissant la pauvrette pantelante, éreintée, dégouttant de leur sperme…
Je la contemplai alors qu’elle émergeait de son orgie de stupre et de débauche, hagarde…
Ces cons ne s’étaient même pas aperçus à côté de quelle merveille ils étaient passés… Ils avaient seulement tiré leur coup, se confortant dans l’image dégueulasse qu’ils avaient de la femme, en rustres qu’ils étaient et qu’ils demeureraient…
La vieille quitta le compartiment en dernier avec un haussement d’épaules, jetant un ultime regard méprisant à la petite traînée.
La justice immanente veillait, car butant sur un sac qui traînait elle se cassa la gueule dans le couloir, ce qui nous fit rire.
Qu’importait ce ramassis ! Ma belle s’en était donné à cœur joie et, malgré son épuisement, brisée, saoule des extases et des débordements lubriques dont elle venait de jouir, je la savais comblée.
Chancelante, sa main fine posée sur son front, dans un geste d’accablement elle eut un petit rire gêné :
— Je crois que j’ai bien besoin de me rafraîchir, non ?
Elle me chercha et m’embrassa.
— Attends-moi, je reviens…
— Certainement pas… ! Je t’accompagne !
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*Ferrovie dello Statto : Chemins de fer de l’État.
*Urlaub : Congé.