1. Chapitre II – De drôles de paroissiens


    Datte: 02/12/2023, Catégories: fhhh, bizarre, train, fsoumise, humilié(e), Oral fsodo, Partouze / Groupe délire, Humour fantastiqu, fantastiq, Auteur: Iovan, Source: Revebebe

    Résumé de l’épisode précédent :
    
    Dans ce train infernal la nuit de cauchemar, où je rencontre ma créature de rêve, se mue en une nuit érotique de nirvana. Carla et moi venons juste de finir de faire l'amour…
    
    Elle gémissait encore son plaisir, quand apparut à la porte du compartiment, restée grande ouverte, un homme portant un panier d’osier. Je reconnus immédiatement le maire de Brescello !
    
    Il restait bouche bée, contemplant l’incroyable spectacle qui s’offrait à ses yeux éberlués : une beauté entièrement nue, gémissante de plaisir… et seule !
    
    Il se retourna et appela, dans le couloir
    
    — Hé ! Venez ! Venez voir ça, vous autres ! Mais venez donc !
    
    Deux autres hommes s’approchèrent, des paysans sûrement, qui restèrent un moment stupéfaits, puis s’entre-regardèrent, l’œil allumé.
    
    — Attends, on va pas la laisser comme ça, la chérie !
    
    Le notable, premier arrivé et ne se souciant que peu de la fidèle Maria qui l’attendait au foyer, avait posé son panier et s’approchait, dégrafant déjà son pantalon, dénouant la large ceinture de tissu rouge.
    
    Je m’attendais à ce que ma belle Carla se regimbe et m’apprêtai à faire le coup de poing, avec cet avantage, qu’ils ne pourraient pas me voir.
    
    Au lieu de ça, stupéfait, je la vis sourire et tendre la main vers l’imposante mentule que le notable avait déjà sortie. Se retournant sur ses compagnons :
    
    — Alors, vous attendez quoi ? Elle a pas l’air farouche, la mignonne…
    
    Je profitai de ce court répit pour me dégager ...
    ... d’entre les cuisses de ma belle, bousculant un peu le type qui était bien trop absorbé par son affaire pour se préoccuper de quoi que ce soit.
    
    Les deux autres s’étaient approchés, et entouraient maintenant la splendide créature qui les regardait, tour à tour, avec un sourire vicieux. Ces trois types voulaient la sauter, et non seulement, elle acceptait, mais elle semblait s’en réjouir !
    
    Je me glissai côté fenêtre, m’interrogeant sur mon comportement. Je m’étonnais : comment ? Moi, qui suis d’un tempérament exclusif, jaloux comme un tigre…
    
    La petite saleté, à l’affût dans son nuage rouge, qui me poussait, parfois, aux pires emportements pour un simple regard ou une parole anodine, cette fois me fichait paix !
    
    Je n’éprouvais aucun sentiment de jalousie, au contraire ! Alors que je venais seulement de faire mienne la plus belle d’entre toutes les femmes, j’étais heureux que ma merveilleuse conquête puisse s’offrir sans vergogne ni retenue aux premiers venus pour satisfaire ses dévorantes envies de stupre… Je n’en revenais pas.
    
    Monsieur le Maire, qui s’était approché le premier de la magnifique créature, empoigna son gourdin au gland violacé et se mit à lui frapper la joue avec un ricanement lubrique. Elle le regarda, soumise, se tourna, bouche entrouverte, et il enfonça sa grosse mentule entre ses lèvres offertes, empoigna sa chevelure, la forçant sur son engin. Les deux autres avaient baissé leur pantalon et Carla s’était emparée de leur queue qu’elle branlait à ...
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