1. Chapitre II – De drôles de paroissiens


    Datte: 02/12/2023, Catégories: fhhh, bizarre, train, fsoumise, humilié(e), Oral fsodo, Partouze / Groupe délire, Humour fantastiqu, fantastiq, Auteur: Iovan, Source: Revebebe

    ... pas… possédée ?
    
    Ce type avait grandi ! Était-ce possible ?
    
    — Aaah ! Gueuse ! Lubrique femelle ! J’accéderai à ton désir… Mais auparavant…
    
    Il dégrafa son pantalon, le baissa, et produisant un large fessier carré et velu, il se tourna et hurla :
    
    — Baise-moi le cul, sorcière !
    
    Il avait encore grandi !
    
    Soumise et gémissante, Carla se pencha sur le repoussant postérieur, écarta les larges fesses poilues, et se livra à l’odieux baiser alors que le bougre éclatait d’un rire sardonique.
    
    Puis il se redressa, apparaissant immense…
    
    Entre ses jambes fortes et velues se dressait un mandrin d’une taille inimaginable, le gland démesuré, tumescent et violacé, surmontait une hampe noueuse d’une épaisseur incroyable, parcourue de grosses veines bleues. Sous la forêt de poils du pubis pendaient des couilles de taureau, lourdes et velues.
    
    Carla, ébahie, regardait l’énorme vit avec une expression d’incrédulité en même temps que d’envie : même si l’engin l’effrayait par sa taille et sa grosseur, colossales. Elle était attirée, subjuguée par la puissance qui en émanait, et tout son être se tendait maintenant vers un seul et impérieux désir : être possédée par le monstrueux chibre.
    
    L’infernal personnage se penchant alors sur la divine enfant, caressant sa chevelure, lui murmura de sa voix sépulcrale :
    
    — Je vais te baiser comme tu ne l’as jamais été et ne le seras jamais, lubrique petite débauchée. Mais d’abord, suce-moi, gourgandine !
    
    Carla, totalement hagarde, se ...
    ... précipita sur l’énorme mandrin et, le saisissant à deux mains, essaya de la prendre en bouche. N’y parvenant pas tant le gland était volumineux, elle se mit à le branler avec une douceur et une docilité consommée, léchant l’énorme cabochon turgide, promenant sa langue sur l’épaisse hampe et les lourdes couilles, tout en proférant des gémissements et des râles qui disaient le plaisir lubrique qu’elle tirait de s’approprier l’énorme mentule.
    
    — Que tu es bonne, petite Rosemary !
    
    Carla bredouilla :
    
    — .e..e..suis…as ose..a..y !
    — Comment ? … Que dis-tu ?
    
    La belle enfant se redressa, toujours agrippée au monstrueux mandrin des deux mains, et levant les yeux vers l’odieux personnage :
    
    — Je ne suis pas Rosemary. Je m’appelle Carla.
    
    L’autre laissa alors éclater sa colère et sa frustration, hurlant :
    
    — Merde, alors ! Merde merde et re-merde ! Si jamais je chope ce con de Polanski… ! Ah, l’enfoiré !
    
    Puis, presque s’excusant :
    
    — Bon, ben ! Là, ma poule, je crois que ça va plus être possible… Tiens, regarde, je débande… et tel que me connais… Ah ! c’est la contrariété ! À chaque coup, ça me fait ça ! Ah ! Putain ! … Je dis pas ça pour toi…
    
    Il allait sortir, se rajustant… Déjà, il avait rapetissé. Se ravisant, il fit demi-tour, se dirigea vers moi.
    
    Il s’arrêta à deux pas et je pus lire, brodé sur le col de sa veste d’uniforme, son matricule : 999. Il me fixa, des deux trous noirs de ses yeux.
    
    — Quant à toi, petit con, si tu crois que je ne te vois pas… ...
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