Le beau Noël du grand ado - Histoires de Sexe

Le beau Noël du grand ado

... Jean-Philippe essaye de se retenir, mais qu’il a quelques difficultés. De mon côté, je ne fais rien pour l’aider, je ne me débrouille pas trop mal dans ce domaine. Certains hommes ont d’ailleurs éjaculé une fois ma bouche refermée, que des petits joueurs ! De ce côté-là, mon mari tient largement la distance.

— Aaargh ! Oooh ! Waaa !

Ça, c’est le fils de ma copine qui se laisse aller. Il vient d’envoyer un premier jet plutôt copieux, son sperme est assez liquide et pas trop salé, ça va, j’ai connu nettement pire en goût. Il se déverse abondamment dans ma bouche, comme s’il tentait de rattraper des mois et des mois de retard. Une vraie vidange ! Pourtant, je suis persuadée qu’il se branle allègrement sur mes photos et les dessins qu’il a faits de moi.

Bien que la source soit à présent tarie, je continue de le sucer pour le nettoyer. Il soupire abondamment. Puis quand j’estime que c’est fini, je le libère. Il soupire une nouvelle fois, puis il dit :

— Je crois que c’est le plus beau cadeau de Noël que j’ai pu avoir !
— Tant mieux, je suis fière de moi !
— Tu peux l’être, Momo ! Oh pardon…
— Tu peux m’appeler Momo comme ton père et ta mère. Je ne suis pas certaine que ton père sache mon vrai prénom !

Il se met à rire. Admiratif, il me regarde :

— Et en plus, t’as tout avalé !
— Bien sûr que oui ! On fait bien les choses ou on ne les fait pas !
— J’aimerais bien plus tard que ma copine soit exactement comme toi ! Mais ça va être difficile d’en trouver une ...

... qui soit aussi fortiche que toi !
— Merci du compliment.

Il essaye de se relever, mais il vacille :

— Oh putain ! On dirait que je suis complètement vidé !
— Il y a de ça, tes boules sont à sec !

À nouveau, il se met à rire :

— Ah ça oui, t’as pas laissé une seule goutte !

Puis il louche sur ma poitrine toujours à découvert, la désignant du doigt :

— Je peux ?
— Tu es vorace dans ton genre, Jean-Phi ! Oui, vas-y !

Il plonge son nez entre les seins, ses mains voraces agrippées dessus. Il les couvre de baisers, tout en les malaxant, les pétrissant. Je dois le modérer un peu :

— Doucement, petit coq ! C’est pas en cristal, mais c’est quand même fragile, figure-toi !
— Oh, c’est trop bon ! Mmmm !

Je le laisse jouer avec mes appas quelques instants supplémentaires, puis je le repousse gentiment en lui expliquant :

— Désolée, mais va falloir redescendre, sinon ça va paraître suspect.
— Dommage… vraiment dommage…

Planté devant moi, il s’enhardit :

— Dis-moi, Momo, est-ce que… est-ce qu’on pourra recommencer ?
— Si tu es sage !
— Great ! Et est-ce qu’on pourra aller plus loin ?
— Tu fais allusion à quoi, mon petit Fifi ?

Il se tortille sur place, mais il avoue :

— Ben… faire l’amour, quoi…
— Si tu es sage !

À mon tour, je me lève, je remballe ma marchandise, puis je dépose un furtif baiser sur ses lèvres. Il est à la fois stupéfait et ravi. Le laissant derrière moi, je quitte la chambre.

Après m’être réajustée devant la glace de ...