Le beau Noël du grand ado - Histoires de Sexe

Le beau Noël du grand ado

... nuit ?
— Euh… oui…
— Petit galopin ! Viens ici que je te récompense !

À sa grande surprise, je m’empare de sa verge toute chaude. Ça va faire un certain temps que je n’en ai pas tenu en main, je parle de jeunettes. J’adore sentir une queue palpiter sous mes doigts, savoir que je suis à l’origine de sa pleine forme. Décidée à jouer le jeu, je branle délicatement la tige de chair. Son propriétaire s’étonne :

— Tu… tu fais quoi ?
— Je te récompense.
— Tu… tu peux faire ça ? Je veux dire… c’est permis ? On peut ?
— On dirait bien que oui, mais faut pas y passer toute la nuit, ta mère a des invités en bas.
— Et ma mère, elle est d’accord ?

Je réponds en biaisant :

— Ah ça… si on doit demander l’avis de tout le monde, on n’est pas sorti de l’auberge !
— Et mon père ?

Je répondrais bien que son père adorerait me sauter, là tout de suite, et que si j’étais dans la chambre de son paternel, il y a longtemps que j’aurais déjà eu les deux gambettes en l’air, mais ce n’est pas non plus approprié de le lui dire.

— Tu te poses trop de questions ! Tu n’aimes pas ce que je suis en train de te faire ?
— Oh si !
— Alors, profite !

En parlant de profiter, j’en profite pour déballer un peu ma marchandise, c’est-à-dire mes deux lolos, ce qui fait sortir les yeux de la tête de Jean-Philippe qui n’en revient pas. Il bafouille :

— Je… je peux toucher ?
— C’est fait pour, mon petit.

Au moins un à qui il ne faut pas répéter deux fois les choses ! ...

... S’agenouillant sur le bord du lit, ses jeunes mains avides caressent fiévreusement mes reliefs rebondis. Il en vient à jouer avec mes tétons, il sait vite se mettre dans le bain. Durant ce temps, je le branle toujours, mais plus fermement.

— T’as de sacrés nénés !
— J’ai cru comprendre que tu flashais dessus… tes dessins…
— Pas que sur tes nénés ! T’es trop bonne !
— Je constate avec plaisir que tu te détends.

J’en profite pour caresser ses testicules. Il murmure avec ravissement :

— Ça, c’est du cadeau de Noël !
— C’est juste le commencement, mon petit !

J’en profite pour capturer sa verge dans ma bouche. Ce faisant, je limite son accès à mes seins, mais ça ne semble pas le traumatiser pour autant. Pour confirmation, il s’exclame :

— Ah ça oui, c’est vraiment du cadeau de Noël !

Je suis en train de lui offrir une belle turlutte, déployant mon art en la matière, diverses techniques apprises sur le tas, si je puis le dire ainsi. À certains frémissements, je sens que Jean-Philippe ne va plus résister bien longtemps. Il gémit :

— C’est trooop bon ! Je vais tout lâcher !

J’ôte sa tige momentanément de mes lèvres pour lui dire :

— Ne te gêne pas ! Tu peux tout lâcher dans ma bouche !
— Je… je peux ?
— Hmm-Hmm !
— Je peux faire dans ta bouche, jusqu’au bout ?
— Hmm-hmm !
— Et… et tu avaleras ?
— Hmm-hmm !
— Oh le putain de cadeau de Noël ! Oh pardon !

Vraiment le cri du cœur ! Au moins quelqu’un qui sera très heureux de son Noël !

Je constate que ...