1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1633)


    Datte: 23/11/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... d’un vif éclat et ressortant visuellement de la partie chromée
    
    - Une femelle se doit avoir ces orifices bien ouverts, bien souples et dilatés. Tu as de la chance, la pute… Monsieur le Marquis t’honore en te permettant d’entrainer tes sphincters avec un luxueux et magnifique objet, tel que celui-ci !, un plug gravé de Ses nobles Initiales fait sur mesure !, me disait Markus en emplissant sa main de gel lubrifiant.
    
    Markus en recouvrait également le sex-toy, avant de placer l’embout à l’entrée de mon cul. Il se penchait vers moi, moi qui soupirais comme une bête, qui transpirais comme une chienne en chaleur. Je me sentais totalement et complètement vaincu avant même que ce volumineux plug glisse en moi. Markus plaçait sa main à l’arrière de l’objet, le laissait là un moment, à l’écoute de ma douleur, de mon plaisir, attendant le bon tempo, le bon moment. Une simple petite poussée, et l’objet s’enfonçait délicatement, passant un cap pour se propulser en avant jusqu’à ce qu’il soit plongé dans mes profondeurs intimes répandant des tressaillements dans tout mon corps servile. Une fois en place Markus se redressait et pressait le bouton de la télécommande cachée dans sa main, l’engin se mettait alors à vibrer. Je poussais de nouveau des petits cris, tremblais dès lors que les décharges électriques titillaient ma prostate. Je savais qu’elle allait gonfler peu à peu, surexcitée par la simulation, je savais qu’elle allait devenir si grosse qu’elle pousserait contre l’objet ...
    ... et que l’électricité la piquerait d’autant plus.
    
    - Je t’interdis de jouir, tu entends, la putain, m’ordonnait Markus
    
    J’acquiesçais une nouvelle fois par un hochement de tête… Alors, les deux pervers me détachaient, me faisaient mettre debout, me maintenaient en passant mes bras sur les épaules respectives. J’avançais doucement, lamentablement, tiraillé par la fatigue, par la douleur sur mes seins, sur le bout de mon gland, par mes mâchoires engourdies, excité par ses vibrations incessantes à la base de ma nouille, autour de mes couilles, de mon périnée et dans mon cul. Ils m’emmenaient ainsi jusque devant une porte, que Rémy ouvrait. Là encore j’étais stupéfait de voir ce que je voyais. Il s’agissait d’un simple placard, pas très large, de la hauteur d’un homme. Des demi-rayonnages en bois massif avec des trous dans chacun d’eux, ces rayonnages horizontaux étaient fixés de part et d’autre aux cloisons latérales. J’étais retourné, poussé contre et en quelques secondes seulement je me retrouvais dans un solide carcan, cou, poignets et chevilles bloqués, mais aussi la taille prise entre deux planches. Impossible pour moi de bouger, de m’assoir de me recroqueviller, je devais rester debout coincé, à la fois éreinté et stimulé par ces ondes et remous irradiant tout mon bas-ventre. Markus me nouait les couilles avec un cordage long, installant au bout du lien un poids relativement lourd, étirant mes burnes sauvagement. Avant de refermer la porte, il me photographiait en me ...