1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1633)


    Datte: 23/11/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode N°1624) -
    
    Chapitre 41 : Le chemin menant de la douleur au plaisir -
    
    Je le savais désormais, j'avais juste besoin de tout ça pour être moi, pour être cette putain, pour être cette salope que j’aspirai à devenir ! … La trayeuse était débranchée et retirée de ma nouille tuméfiée et toujours gorgée de sang, le plug ne s’agitait plus dans mon cul de catin. Encore allongé sur le dos, je cherchais à retrouver une respiration calme et normale. De mon front coulait de grosses gouttes de sueur, des spasmes et soubresauts incontrôlables agitaient encore mon abdomen, mes membres restés tendus avaient du mal à se relâcher. Je me sentais brisé, totalement démoli, mon corps abusé et mon mental réduit en poussière. J’avais besoin de repos, d’un peu de quiétude et sans doute de sommeil. Mais ces deux infâmes pervers en décidaient autrement. Rémy me fixait un écarteur de bouche pour maintenir mon orifice buccal grand ouvert, alors que Markus retirait le plug de mon cul, pour installer autour de mon sexe un anneau pénien en silicone enserrant bien fermement ma nouille et mes couilles, afin de renforcer mon érection. Pire encore, cet accessoire se mettait à vibrer dans sa partie inférieure, juste sous mes burnes, excitant ainsi la base de ma hampe, mes testicules et mon périnée. Des vibrations parfois douces, parfois intenses et violentes exacerbant mon excitation. Ma nouille était ...
    ... prodigieusement dure, formidablement érigée, tellement raide que cette érection devenait insupportable et devenait même quasi douloureuse. Je geignais, poussais des gémissements, des grognements sourds et des hoquets plaintifs, crispant ma gorge.
    
    - Tu jouis, la pute… tu aimes ça, grosse chienne ! me lançait Markus, un sourire carnassier et pervers aux lèvres.
    
    Cet homme n’était qu’un dépravé ayant le vice dans la peau. Il jouissait en m’humiliant tant et plus, en me tourmentant sans cesse. Je ne comprenais pas pourquoi il tenait en main deux baguettes chinoises, il me les montrait en me disant.
    
    - Tu le sais, le chien… les asiatiques mangent avec ça !
    
    Evidemment que je le savais !
    
    - Certains asiatiques sont merveilleusement machiavéliques… Ces baguettes sont des instruments de torture extraordinaire… J’ai vu des salopes de ton espèce se faire remplir le cul avec ces petites choses en bois. On insère une baguette, puis deux, puis dix, puis cinquante… jusqu’à ce que le trou de la lope soit bien écartelé… Humm, je suis sûr que tu aimerais que je m’occupe de ton fion ainsi… Je sais que tu aimes te faire dilater ta rondelle de chienne en chaleur que tu es… Désolé pour toi, la putain… Je suis contraint de te frustrer, je n’ai que deux baguettes à ma disposition !
    
    « Ouf ! » pensais-je… Toutefois je m’inquiétais parce que je voyais bien que Markus n’allait pas en rester là. Très calmement, très lentement, il fixait à l’une des extrémités des deux baguettes un petit élastique ...
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