La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1633)
Datte: 23/11/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... pour les maintenir serrées l’une contre l’autre. Puis il empoignait ma nouille toujours bien raide, retroussait au maximum mon prépuce. De son autre main, avec son majeur, il maintenait écarté les deux baguettes puis engageait celles-ci sous mon gland. Sitôt son doigt enlevé, les deux baguettes, via l’élastique qui se rétractait, comprimaient ma hampe de chair turgescente. Un gémissement sourd sortait de ma bouche écartée.
- J’adore t’entendre geindre, la salope…. J’adore te voir prendre du plaisir ainsi, petit bâtard, me disait Markus
Peut-être n’avait-il pas tort ? Sans doute même, avait-il raison ! La douleur réveillait mon côté masochiste. J’éprouvais depuis peu ce besoin de souffrir pour mieux me soumettre, pour me donner plus encore à Monsieur le Marquis. Je souhaitais arriver à un lâcher-prise total pour que le Maitre puisse utiliser mon corps et mon mental selon Ses besoins, Ses envies, Ses exigences… Je ressentais en quelque sorte une jouissance mentale aussi forte qu’un orgasme sexuel… Markus fixait un autre petit élastique aux autres extrémités des baguettes, enserrant et comprimant douloureusement ma nouille sur toute sa hampe.
- Tu es beau ainsi, la pute ! La bouche bien ouverte, ta nouille étranglée et secouée par les vibrations de ce cockring te maintenant érigé… Regarde le chien… plus je rapproche les élastiques près de ta nouille, plus les deux baguettes vont se resserrer sur elle, et plus tu vas jouir…
Markus passait des paroles aux actes… Mon ...
... gland écarlate suffoquait parce qu’asphyxié, parce que muselé, parce que garroté ! Je me laissais malmener, la douleur m’emmenait vers d’autres plaisirs insoupçonnables jusqu’ici inconnus. Bien difficile à décrire ce que je percevais, bien difficile aussi d’admettre que je devenais un être sans consistance, sans raisonnement. J’acceptais, me conformais, endurais, me résignais et consentais à n’être qu’une chose malléable, qu’une simple marionnette dont on tirait les fils à volonté, qu’un pantin désarticulé, qu’un objet de distraction pour ceux qui me dominaient. Là, était mon plaisir, ma satisfaction, une forme de délectation mentale enivrante, une forme de délectation physique accentuant mon masochisme...
- Tu sais quoi, la chienne ?...
Markus ne me laissait pas le temps de faire ou dire quelque chose, il reprenait :
- …Par un pur hasard, sous le contrôle de Monsieur le Marquis, moi et celui qui sera le témoin de mariage de ton futur mari, nous avons joué à la courte paille !
J’écarquillais les yeux, ne comprenait rien à ce que voulait me dire ce pervers Markus. Lui souriait, un sourire lubrique, salace et vicelard….
- Tu te rappelles au moins que Monsieur le Marquis exige que tu te maries sous peu avec cette grosse salope d’esclav’antoine ?
J’hochais rapidement la tête de bas en haut, pour acquiescer.
- Bien… J’ai cru que tu avais oublié…
Markus se taisait encore, rapprochait les élastiques posés sur les baguettes chinoises d’un peu plus près autour de ...