1. Promenade vers le plaisir


    Datte: 22/11/2023, Catégories: fh, caresses, Oral pénétratio, fdanus, couple, Auteur: pitroen, Source: Revebebe

    ... diffuser dans tout son être avant qu’il ne la fasse frissonner entière, ou au contraire, jouir rapidement, debout, quand elle veut se libérer de ce besoin, l’ôter de son esprit et le renvoyer au corps.
    
    Soudain, elle se raidit entière, attrape la tête de l’homme et la presse sur son sexe.
    
    — Là !
    
    Elle presse plus fort encore, des deux mains, I’enfonçant dans sa chair.
    
    En apnée, il fait de son mieux pour ne pas perdre de la langue le bouton de chair. Ses mains ont quitté les lèvres pour les fesses, s’arrimant à son bassin. La peur de perdre le fil du plaisir monte en lui, peur de la décevoir.
    
    Toute son énergie est concentrée dans sa langue.
    
    Il sent soudain se relâcher la crispation de son corps. Un cri léger s’échappe de sa bouche, presque un murmure puis elle repousse délicatement sa tête de son sexe.
    
    Il la lève et suit du regard le corps de la femme, depuis le pubis aux courts poils, le ventre plat, la délicate poitrine soulevée par la respiration hachée. Il aperçoit derrière les seins son visage aux yeux fermés, à la bouche entrouverte en demi-sourire, aux joues légèrement rosies. Ils sont tous deux baignés en partie d’un rayon de soleil, découpant une ligne sombre sur leurs corps.
    
    Elle ouvre les yeux, affermit son sourire et de sa main le relève par le menton. Elle guide sa bouche jusqu’à la sienne et l’embrasse doucement et longuement.
    
    Pendant ce baiser, elle écarte son corps pour caresser de la main l’entrejambe durci de l’homme. Sa paume suit le ...
    ... dessin du sexe contraint par les vêtements.
    
    Elle remonte vers la boucle de ceinture qu’elle défait, s’aidant de sa deuxième main venue en renfort. Les boutons de la braguette lâchent facilement quand elle écarte les deux pans du jean.
    
    Elle se baisse alors, entraînant le pantalon et le caleçon dans un même geste, gardant son regard fixé sur le sien tout le long de la descente, jusqu’à ce que sa tête arrive au niveau de sa bite dressée hors d’une masse de poils noirs. Bien plus noirs et drus que cheveux ou barbes.
    
    Sa langue sort doucement et frôle le prépuce distendu, recouvrant encore en partie le gland. Elle en embrasse l’extrémité.
    
    Il saisit et enlève d’un geste son pull noir et son t-shirt blanc. Au moment où ses vêtements passent au-dessus de sa tête, la femme avale le sexe tendu et commence à le sucer avec application. Il tressaille et se fige un instant, les yeux fermés, bras et visage emmêlés dans le tissu.
    
    Elle clôt également les yeux et cherche le rythme adéquat. Le sexe est un peu élastique et elle sent la peau suivre ses mouvements buccaux. Ses mains sont maintenant posées sur les hanches de l’homme, à la fois ancres et capteurs.
    
    Il tremble vite, si peu résistant au plaisir. Elle accélère un peu, juste pour sentir ce tremblement s’intensifier. Puis elle ralentit et gagne en amplitude. À chaque mouvement, la bite s’enfonce un peu plus, sa langue en caresse une plus grande longueur.
    
    La respiration de l’homme ralentit, syncopant chaque fois que sa ...
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