Le rose et le noir. Ludivine
Datte: 06/07/2019,
Catégories:
fh,
ffh,
fbi,
hotel,
amour,
volupté,
Oral
69,
ecriv_c,
Auteur: Laure et JP, Source: Revebebe
... des portes qui claquent ailleurs dans l’hôtel, nos respirations. Une ambiance comme dans le film « L’amant chinois » tiré du roman de Marguerite Duras, où les amants se retiennent, elle dans la fébrilité de ses 16 ans, vierge, lui avec la conscience qu’il va faire d’elle une femme.
— Jean-Pierre, j’ai envie de toi… souffle-t-elle.
Je soupire, hésitant. Tout est allé très vite, trop vite peut-être. C’est parce que justement Ludivine me plaît que je crains pour Laure et moi. Sauter ou non le pas, commettre peut-être l’irréparable.
Doucement elle se tourne vers moi, me prend ma main et la pose sur son ventre nu, mes doigts frôlant l’élastique de sa culotte. Douceur… la peau est soyeuse, chaude. Ses genoux se lèvent, ses cuisses s’ouvrent et sa main m’entraîne sous l’élastique, plus bas… d’un petit coup de rein elle ajuste mes doigts dans son intimité. C’est brûlant… humide et poisseux. Elle geint, remue un peu, se caresse avec ma main…
— Continue… murmure-t-elle. Voyons, et toi…
Je sens ses doigts remonter le long de mes cuisses, se poser enfin sur la bosse de mon slip, et ses ongles me griffer à travers le tissu. Je sursaute tant cette caresse est subtile, effleurée.
— Fais voir… souffle-t-elle, en glissant brusquement sa main sous le slip pour me saisir tout entier.
Puis souplement elle me chevauche, en se retournant, me présente ses fesses et, dégageant mon sexe, l’embouche en poussant un petit cri et m’offre son abricot.
Sa bouche me suce ...
... doucement, ses lèvres me tenant à peine, sa langue insistant sur le gland.
Je bondis et, lui faisant glisser sa culotte, j’investis ses replis chauds et humides.
Ah ce goût, cette odeur ! Ceux d’une blonde, délicats, légers… les fruits, les senteurs de son jardin caché, engazonné d’une flore blonde et légère !
Elle se cabre, gémit, accélère soudain sa caresse, me prenant à fond.
Sa bouche me lâchant, elle se redresse, continuant à me caresser à deux mains.
— Oui, comme ça… chuinte-t-elle, continue, suce-moi bien…
J’ai les lèvres, la langue pleines de son jus, mes mains crispées sur ses fesses. Elle gémit encore puis d’un petit coup de rein elle s’avance, se relève légèrement et, se guidant d’une main, s’empale sur mon sexe en redescendant très lentement, centimètre par centimètre..
Nous crions ensemble de cette pénétration retenue, savante. C’est divin, un peu serré, chaud, la sensation d’être pris dans du velours.
— Laisse-moi faire… murmure-t-elle.
Et d’un mouvement lent, ample, elle s’active, ses mains posées sur mes cuisses. Je la vois de dos, monter et descendre ses fesses, en se tortillant, en se vrillant. Un régal tant c’est doux, expert dans une recherche maximum de plaisir. Soudain elle expire un cri rauque, se crispe, plusieurs spasmes la parcourant, et enfin elle jouit en se courbant en avant, toute frissonnante.
À bout d’excitation et de plaisir je me lâche à mon tour, me déversant en elle, avec l’impression de la remplir complètement, de ...