Cousines
Datte: 21/11/2023,
Catégories:
fffh,
jeunes,
Inceste / Tabou
vacances,
plage,
forêt,
caresses,
pénétratio,
init,
enfamille,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... truffe, Monsieur le séducteur attitré de la famille.
— Quoi ? Quoi ? Quoi ?
— Tu fais la grenouille ? Eh ! Dis ! Soupirs et gémissements avec Francine. Soupirs et gémissements avec Francine et Mireille. Et on se bécote dans les coins, et on se tripote dès que l’on ne se croit plus observé, je peux reprendre l’historique depuis le début.
— Tu… tu savais tout ça ? blêmis-je.
— Attends, je dors juste à côté et je ne suis ni sourde, ni aveugle, ni idiote. Alors aujourd’hui, c’est MON tour, et en toute liberté, sans personne pour nous surprendre ou nous faire chier.
— Ah bon, mais…
— Je ne te plais pas, c’est ça ? Et ne me dis pas que je suis trop jeune, Francine il me semble avait deux ans de moins que moi aujourd’hui.
— Non, non. Je… Bon… Comme tu voudras.
J’étais devant une obstination absolue, sans négociation ni échappatoire possible. D’ailleurs, je n’avais absolument aucune envie de m’échapper. Juste que ça me tombait sur la caboche quand je ne m’y attendais pas, ça ne se passait pas du tout comme j’avais imaginé, je n’étais plus le maître du jeu. Et j’avais une boule de pétanque dans la gorge. J’allai boire un verre d’eau. Soudain une voix derrière moi :
— Tu voudrais peut-être que je nous fasse un café ?
— Ah oui, volontiers ! fis-je en me retournant. Nom de dieu !
— Jé-rôme ! Hou-hou ! On s’est trempés dans la même baignoire tout nus quand on était petits. Non ?
— Glups ! Oui, mais… T’as beaucoup changé depuis. Putain c’que t’es… bêêêêelle !
— Après la ...
... grenouille, tu fais le mouton. Allez, tu vas t’en remettre, mais merci quand même.
Je ne parvenais pas à détacher mes yeux de cette beauté nue et… je ne savais même plus où regarder. Tout était… splendide, magnifique, incroyable… J’hallucinais, il devait y avoir des trucs pas nets dans ma clope. Ces seins, ce cul, ces hanches, ce ventre plat avec… oui, une plaque de chocolat qui apparaissait de temps à autre, ces membres longs, déliés, avec les muscles qui se dessinaient selon ses mouvements… même le dos passait du lisse absolu aux boules qui roulaient sous la peau de façon impressionnante.
— Je ne plaisante pas, tu sais Cathy. Tu es absolument sublime. Je dirais même sublimissime ! Mais où as-tu été pêcher ce corps de rêve ?
— Bah, arrête. Je n’ai eu qu’une chance : douze centimètres de plus que mes sœurs, la taille de mon père en somme. Autrement, avoue, je ressemble vachement à Francine, non ?
— Oui, c’est vrai, mais tellement différente en même temps… Mais tu es vachement plus musclée que tes frangines !
— Exact. Je me suis dit d’abord qu’un grand corps comme ça il fallait l’entretenir pour qu’il ne s’avachisse pas. Tu vois, le toubib avait dit à ma mère, quand j’ai fait ma pousse, que je risquais une scoliose, qu’il fallait me muscler le dos. J’avais des copines dans mon cas, et elles, elles allaient chez le kiné. Nous, on n’avait pas les moyens. Alors elles m’apprenaient les mouvements et je les refaisais toute seule. C’était dur au début, et puis j’ai compris ...