1. Ma belle-mère aime les massages


    Datte: 06/03/2018, Catégories: f, h, alliance, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation massage, nopéné, bellemere, Auteur: Eric Jakin, Source: Revebebe

    ... vous-même ce que l’on appelle l’automassage. En plaçant vos deux mains sur la partie de votre corps que vous désirez masser, il vous suffit de faire des ronds autour en pressant plus ou moins, puis en étreignant doucement la peau. Je vais vous montrer.
    
    Je posai mes deux mains sur l’arrière d’une de ses cuisses, et commençai des rotations en prenant soin de bien appuyer puis de relâcher la pression, tout en élargissant les cercles. Puis je descendis jusqu’au mollet que je pinçai un peu, tout en finissant par un palpé-roulé.
    
    — C’est excellent de se faire ce genre d’automassage avant de se coucher. Cela ne remplace pas le massage que je viens de vous faire, mais cela en est un bon complément. Essayez, vous m’en reparlerez.
    
    Après quelques minutes, elle s’étira longuement en sortant de son état de zénitude où visiblement elle était bien. Elle s’assit sur la table et me dit alors :
    
    — Mon petit Éric, quelle merveille ce massage, vous m’avez super relaxée ! Vraiment vous êtes doué ! Et merci aussi de m’avoir montré comment je pourrai me faire des automassages.
    
    « Mon petit Éric » ! Alors là, j’étais scotché ! On était loin du vilain syndicaliste…
    
    — Louise, je vous laisse, je vais lire mes mails avant de me coucher et je vous souhaite une bonne nuit.
    — Moi aussi je vais lire mes mails. Bonne nuit à vous aussi et, si vous le voulez, rendez-vous à 7 h 30 demain matin, je vous préparerai un bon déjeuner !
    
    J’acceptai sans me poser de questions. Au point où j’en ...
    ... étais…
    
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    Après une nouvelle douche rapide, je m’enroulai dans mon peignoir et me dirigeai vers la petite pièce où je venais consulter mes mails, le soir avant de me coucher, avec mon ordinateur portable. Cette petite pièce, où la réception était la meilleure, était mitoyenne avec l’appartement de Louise. En fait, les deux appartements étaient séparés par une cloison mobile en accordéon qui avait été conçue à l’origine pour agrandir, si besoin était, le salon central de l’appartement qu’occupait Louise. Quand je m’y rendis, je vis que cette cloison de séparation était restée ouverte. C’était sans doute la femme de ménage qui ne l’avait pas refermée. Je m’installai donc dans un fauteuil, tout près de cette cloison.
    
    Quelques minutes plus tard, Louise entrait dans son salon, vêtue aussi d’un peignoir de bain. Elle constata de même que la cloison de communication n’était pas fermée, et pensa sans doute la même chose que moi vis-à-vis de la femme de ménage. Elle hésita d’abord. Puis, elle s’installa dans le canapé, elle aussi avec son ordinateur. Nous étions assis quasiment face à face, à environ deux mètres l’un de l’autre.
    
    — Je ne vous dérangerai pas, Éric, car moi aussi j’ai mes mails à lire. Et finalement, je crois qu’il est bon de laisser la cloison ouverte, car on capte mieux internet ainsi.
    — Mais vous ne me dérangez pas, Louise, lui répondis-je. Vous avez raison, capter internet est souvent difficile dans ce quartier de Paris complètement saturé. ...
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