1. Ma belle-mère aime les massages


    Datte: 06/03/2018, Catégories: f, h, alliance, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation massage, nopéné, bellemere, Auteur: Eric Jakin, Source: Revebebe

    Je vais vous présenter ici une série d’événements qui se sont déroulés il y a environ une vingtaine d’années. Petite remarque en préambule : j’ai conscience que certains lecteurs trouveront sans doute trop longs les propos préliminaires. Cela dit, comme il s’agit là de situations réellement vécues, ces propos introductifs sont pourtant nécessaires.
    
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    Je m’appelle Éric, et si aujourd’hui j’ai cinquante-quatre ans, je vais vous parler de l’époque où j’avais trente-cinq ans (années 1998-1999) et ma belle-mère, Louise, cinquante-six. Informaticien de formation, j’étais cadre dans une grande entreprise nationale, détaché alors sur une fonction de syndicaliste à plein temps dans un établissement de province, à environ deux heures de TGV de Paris. À mon entrée dans la vie active, recruté facilement vis-à-vis de mes diplômes universitaires, j’étais passé assez rapidement sur cette mission syndicale, car je me suis rapidement rendu compte que j’aimais la gestion des relations humaines. J’ai toujours conçu ma mission syndicale « à l’allemande », en étant d’abord force de proposition avant d’envisager d’être en situation d’opposition. Et globalement, mes employeurs et mes mandants se retrouvaient dans mon action reconnue comme conciliatrice.
    
    À la sortie de mes études, je me suis marié avec Sophie, la copine que je fréquentais depuis deux années, et nous avons deux enfants. Professeur d’anglais, mon épouse exerçait à cette époque son métier dans un lycée de ...
    ... notre ville, et nous menions une vie assez classique, sans problème particulier. Si aujourd’hui elle est une belle « quinqua » dynamique et agréable à vivre, à l’époque elle savait bien alterner entre sa vie de mère de famille (nos enfants avaient huit et dix ans) et sa vie de femme sensuelle et désirable qui me comblait complètement. Et si la gent féminine m’a souvent fait remarquer discrètement que j’étais « bel homme » avec plein de sous-entendus, je n’avais jamais cherché d’aventures ici ou là.
    
    Petite ombre au tableau, ses parents étaient des entrepreneurs du domaine de l’électro-ménager, et ils vivaient plutôt mal le mariage de leur fille unique avec un syndicaliste. Quand mon beau-père restait mesuré dans ses propos, ma belle-mère Louise était, elle, incisive vis-à-vis de moi et ne se privait pas de me reprocher mon engagement syndical avec moult clichés d’un autre siècle :
    
    — Ah, ces syndicats, fainéants et incapables d’évoluer !
    
    Ou, alors :
    
    — Les syndicalistes ? Juste bons à bloquer les patrons qui portent à eux seuls l’économie du pays !
    
    Si je laissais souvent dire pour ne pas envenimer nos rapports déjà très tendus, notamment lors des repas et des cérémonies familiales, quand elle allait trop loin, je lui répondais vigoureusement en haussant le ton, ce qui cassait l’ambiance et qui désespérait mon épouse. D’où le fait que les repas et rencontres avec la belle-famille s’espaçaient de plus en plus… Et le pire, c’est qu’elle et moi avions deux passions ...
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