1. Ma belle-mère aime les massages


    Datte: 06/03/2018, Catégories: f, h, alliance, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation massage, nopéné, bellemere, Auteur: Eric Jakin, Source: Revebebe

    ... communes : le golf et la voile. Cela dit, alors qu’elle fréquentait les « greens » 18 trous des châteaux-palaces et les luxueux ports de la Côte d’Azur, moi j’étais le plus souvent sur les 9 trous communaux et les clubs de voile associatifs !
    
    Parfois, certains de mes amis me disaient que j’avais de la chance d’avoir une belle-mère aussi « canon » ! De taille moyenne et blonde aux cheveux mi-longs, en charge de la gestion administrative de l’entreprise familiale, elle faisait de son physique une arme de communication qui était très utile dans une période de récession industrielle. Il faut dire qu’elle entretenait son corps régulièrement dans sa salle de gym, et faisait en sorte de juste montrer ce qui pouvait se montrer, mais sans provocation pour autant. Avec ses seins lourds, mais de bonne tenue, ses cuisses parfaites et ses fesses juste rebondies à souhait, elle faisait fantasmer tous les hommes qui la croisaient dans la vie quotidienne… mais pas moi, loin de là ! Si j’avais pu la gifler parfois, sans que cela ne provoque un esclandre, je crois que je ne m’en serais pas privé.
    
    Quelques années avant l’époque dont je vais vous parler, un événement grave est intervenu : mon beau-père est décédé brutalement.
    
    Grand amateur de cheval, il a chuté malencontreusement lors d’une chasse à courre en Sologne, sa tête heurtant un bloc de pierre de plein fouet. Et malgré tous les experts du corps médical sollicités sur notre ville puis sur Paris, il est décédé rapidement, en ...
    ... une semaine. Ma femme fut très affectée de ce décès, car elle était beaucoup plus proche de lui que de sa mère avec qui elle entretenait des relations courtoises, mais assez distantes.
    
    Cette période fut assez dramatique. Même s’il était connu que ma belle-mère avait eu pas mal d’amants avant de se marier, elle était très attachée à son mari et l’a accompagné jour et nuit durant toute sa dernière semaine de vie tragique. Il me faut bien reconnaître que même si je n’aimais pas cette femme à cette époque, la classe qu’elle a eue dans cette période difficile et sa rectitude dans les questions de succession l’ont fait remonter (un peu) dans mon estime.
    
    Par la suite, elle a repris seule la direction de l’entreprise avec efficacité dans le style « main de fer dans un gant de velours ». La question que l’on se posait tous alors était : « quid de sa vie sentimentale désormais, elle qui continuait encore plus à entretenir un corps qui pouvait rivaliser avec de nombreuses jeunesses ? ».
    
    Louise était chez nous un soir que je rentrais du travail et, m’entendant déposer mes affaires dans l’entrée, elle se mit immédiatement à s’affairer pour partir, nos relations ne s’étant que peu améliorées depuis le décès de son mari. Attendant dans le couloir en faisant du bruit pour montrer que j’étais là, et donc que j’attendais son départ, j’ai quand même entendu la fin de la conversation douce-amère qu’elle avait avec sa fille.
    
    — Tu ne vas quand même pas rester seule éternellement, disait ...
«1234...19»