Ma belle-mère aime les massages
Datte: 06/03/2018,
Catégories:
f,
h,
alliance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
massage,
nopéné,
bellemere,
Auteur: Eric Jakin, Source: Revebebe
... Sophie, surtout que ce ne sont pas les hommes qui manquent autour de toi !
— Tu sais bien, répondit Louise, que j’ai promis à ton père sur son lit de mort que je resterai en deuil de lui pendant au moins cinq années, et que durant ce temps, aucun homme ne me toucherait sexuellement. Pourquoi donc chercherais-je à faire des rencontres ? Pour parler de la pluie et du beau temps ? Et tant que ce délai n’est pas écoulé, je tiens à respecter ce contrat moral. Après, on verra bien…
Comme j’arrivais vers elles, la discussion s’arrêta immédiatement et ma belle-mère se leva, me fit deux bises du bout des lèvres, comme si j’étais un pestiféré, puis rentra chez elle rapidement. Vis-à-vis de ma femme, comprenant l’intimité de la discussion qu’elle avait eue avec sa mère, je fis celui qui n’avait rien entendu.
Ma femme m’avait déjà parlé de cette promesse faîte à son mari. Mais je ne pensais pas que, quatre années après, elle persistait dans ces années d’abstinence… Cela dit, son engagement concernait le fait qu’un homme ne la touche pas sexuellement durant ce délai… Ce qui n’est pas tout à fait pareil qu’une pure abstinence, comme vous allez le constater.
Année 1998
En 1998, donc année de mes trente-cinq ans et des cinquante-six ans de Louise, c’était la quatrième année du respect du contrat moral passé entre ma belle-mère et son mari défunt.
À cette période, souhaitant me repositionner professionnellement, je m’étais engagé dans une formation continue qui devait me ...
... faire évoluer en matière de management. Cette formation, qui concernait des cadres ressources humaines, était cependant ouverte à quelques syndicalistes dont je faisais partie. J’étais donc amené à me rendre sur Paris une fois par mois pour trois jours. La question de mon logement se posait alors pour les nuitées.
Comme ma belle-famille possédait un appartement parisien et un studio mitoyen, il fut convenu que j’habiterai durant ces périodes parisiennes dans le studio. En fait, cela ne devait pas trop gêner ma belle-mère qui utilisait rarement son appartement pour des périodes de travail, notamment ses conseils d’administration. Dans les faits, et jusqu’au mois d’avril de cette année-là, elle fit tout pour ne pas être parisienne quand j’y étais. Ce qui nous convenait parfaitement à tous les deux.
Pourtant, lors de la semaine de début mai, nous n’avons pas pu éviter d’y être présents en même temps. Ce qui ne devait en principe pas poser de problèmes, car les deux appartements étant indépendants, chacun pouvait « vivre » ses occupations sans même savoir ce que faisait l’autre.
Le lundi en fin d’après-midi, jour de mon arrivée habituelle lors de mes périodes de formation, ma femme me téléphona avec la demande suivante :
— Écoute, je sais bien que tu n’apprécies pas maman et qu’elle te le rend bien. Mais là, je l’ai eu au téléphone, et elle n’est vraiment pas très bien. Ce serait bien que tu ailles à l’épicerie du quartier et que tu lui ramènes une salade composée toute ...